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The Project Gutenberg EBook of Oeuvres complĂštes de Paul Verlaine, Vol. 1 by Paul Verlaine This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with almost no restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included with this eBook or online at Title Oeuvres complĂštes de Paul Verlaine, Vol. 1 PoĂšmes Saturniens, FĂȘtes Galantes, Bonne chanson, Romances sans paroles, Sagesse, Jadis et naguĂšre Author Paul Verlaine Release Date February 20, 2005 [EBook 15112] Language French *** START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK OEUVRES COMPLÈTES DE PAUL VERLAINE *** Produced by Miranda van de Heijning, Renald Levesque and the Online Distributed Proofreading Team. This file was produced from images generously made available by the BibliothĂšque nationale de France BnF/Gallica POÈMES SATURNIENS Les Sages d'autrefois, qui valaient bien ceux-ci, Crurent, et c'est un point encor mal Ă©clairci, Lire au ciel les bonheurs ainsi que les dĂ©sastres, Et que chaque Ăąme Ă©tait liĂ©e Ă  l'un des astres. On a beaucoup raillĂ©, sans penser que souvent Le rire est ridicule autant que dĂ©cevant, Cette explication du mystĂšre nocturne. Or ceux-lĂ  qui sont nĂ©s sous le signe SATURNE, Fauve planĂšte, chĂšre aux nĂ©cromanciens, Ont entre tous, d'aprĂšs les grimoires anciens, Bonne part de malheur et bonne part de bile. L'Imagination, inquiĂšte et dĂ©bile, Vient rendre nul en eux l'effort de la Raison. Dans leurs veines, le sang, subtil comme un poison, BrĂ»lant comme une lave, et rare, coule et roule En grĂ©sillant leur triste IdĂ©al qui s'Ă©croule. Tels les Saturniens doivent souffrir et tels Mourir,—en admettant que nous soyons mortels.— Leur plan de vie Ă©tant dessinĂ© ligne Ă  ligne Par la logique d'une Influence maligne. PROLOGUE Dans ces temps fabuleux, les limbes de l'histoire, OĂč les fils de RaghĂ», beaux de fard et de gloire, Vers la Ganga rĂ©gnaient leur rĂšgne Ă©tincelant, Et, par l'intensitĂ© de leur vertu, troublant Les Dieux et les DĂ©mons et Bhagavat lui-mĂȘme, Augustes, s'Ă©levaient jusqu'au nĂ©ant suprĂȘme, Ah! la terre et la mer et le ciel, purs encor Et jeunes, qu'arrosait une lumiĂšre d'or FrĂ©missante, entendaient, apaisant leurs murmures De tonnerres, de flots heurtĂ©s, de moissons mĂ»res, Et retenant le vol obstinĂ© des essaims, Les PoĂštes sacrĂ©s chanter les Guerriers saints, Ce pendant que le ciel et la mer et la terre Voyaient—rouges et las de leur travail austĂšre— S'incliner, pĂ©nitents fauves et timorĂ©s, Les Guerriers saints devant les PoĂštes sacrĂ©s! Une connexitĂ© grandiosement calme Liait le Kchatrya serein au Chanteur calme, Valmiki l'excellent Ă  l'excellent Rama Telles sur un Ă©tang deux touffes de padma. —Et sous tes cieux dorĂ©s et clairs, Hellas antique, De Sparte la sĂ©vĂšre Ă  la rieuse Allique, Les AĂšdes, Orpheus, AkaĂŻos, Ă©taient Encore des hĂ©ros altiers et combattaient, HomĂ©ros, s'il n'a pas, lui, maniĂ© le glaive, Fait retentir, clameur immense qui s'Ă©lĂšve, Vos Ă©chos, jamais las, vastes postĂ©ritĂ©s, D'HektĂŽr, et d'Odysseus, et d'Akhilleus chantĂ©s. Les hĂ©ros Ă  leur tour, aprĂšs les luttes vastes, Pieux, sacrifiaient aux neuf DĂ©esses chastes, Et non moins que de l'art d'ArĂšs furent Ă©pris De l'Art dont une Palme immortelle est le prix, Akhilleus entre tous! Et le LaĂ«tiade Dompta, parole d'or qui charme et persuade, Les esprits et les coeurs et les Ăąmes toujours, Ainsi qu'Orpheus domptait les tigres elles ours. —Plus tard, vers des climats plus rudes, en des Ăšres Barbares, chez les Francs tumultueux, nos pĂšres, Est-ce que le TrouvĂšre hĂ©roĂŻque n'eut pas Comme le Preux sa part auguste des combats? Est-ce que, ThĂ©roldus ayant dit Charlemagne, Et son neveu Roland restĂ© dans la montagne Et le bon Olivier et Turpin au grand coeur, En beaux couplets et sur un rythme Ăąpre et vainqueur, Est-ce que, cinquante ans aprĂšs, dans les batailles, Les durs Leudes perdant leur sang par vingt entailles, Ne chantaient pas le chant de geste sans rivaux, De Roland et de ceux qui virent Roncevaux Et furent de l'Ă©norme et suprĂȘme tuerie, Du temps de l'Empereur Ă  la barbe fleurie? —Aujourd'hui l'Action et le RĂȘve ont brisĂ© Le pacte primitif par les siĂšcles usĂ©, Et plusieurs ont trouvĂ© funeste ce divorce De l'harmonie immense et bleue et de la Force. La Force qu'autrefois le PoĂšte tenait En bride, blanc cheval ailĂ© qui rayonnait, La force, maintenant, la Force, c'est la BĂȘte FĂ©roce bondissante et folle et toujours prĂȘte A tout carnage, Ă  tout dĂ©vaslement, Ă  tout Égorgement d'un bout du monde Ă  l'autre bout! L'Action qu'autrefois rĂ©glait le chant des lyres, Trouble, enivrĂ©e, en proie aux cent mille dĂ©lires Fuligineux d'un siĂšcle en Ă©bullition, L'Action Ă  prĂ©sent,—î pitiĂ©!—l'Action, C'est l'ouragan, c'est la tempĂȘte, c'est la houle Marine dans la nuit sans Ă©toiles, qui roule Et dĂ©roule parmi des bruits sourds l'effroi vert Et rouge des Ă©clairs sur le ciel entr'ouvert! —Cependant, orgueilleux et doux, loin des vacarmes De la vie et du choc dĂ©sordonnĂ© des armes Mercenaires, voyez, gravissant les hauteurs Ineffables, voici le groupe des Chanteurs VĂȘtus de blanc, et des lueurs d'apothĂ©oses Empourprent la fiertĂ© sereine de leurs poses Tous beaux, tous purs, avec des rayons dans les yeux, Et sur leur front le rĂȘve inachevĂ© des Dieux, Le monde que troublait leur parole profonde, Les exile. A leur tour ils exilent le monde! C'est qu'ils ont Ă  la fin compris qu'ils ne faut plus MĂȘler leur note pure aux cris irrĂ©solus Que va poussant la foule obscĂšne et violente, Et que l'isolement sied Ă  leur marche lente. Le PoĂšte, l'amour du Beau, voilĂ  sa foi, L'Azur, son Ă©tendard, et l'IdĂ©al, sa loi! Ne lui demandez rien de plus, car ses prunelles, OĂč le rayonnement des choses Ă©ternelles A mis des visions qu'il suit avidement, Ne sauraient s'abaisser une heure seulement Sur le honteux conflit des besognes vulgaires, Et sur vos vanitĂ©s plates; et si naguĂšres On le vit au milieu des hommes, Ă©pousant Leurs querelles, pleurant avec eux, les poussant Aux guerres, cĂ©lĂ©brant l'orgueil des RĂ©publiques Et l'Ă©clat militaire et les splendeurs auliques. Sur la kitare, sur la harpe et sur le luth, S'il honorait parfois le prĂ©sent d'un salut Et daignait consentir Ă  ce rĂŽle de prĂȘtre D'aimer et de bĂ©nir, et s'il voulait bien ĂȘtre La voix qui rit ou pleure alors qu'on pleure ou rit, S'il inclinait vers l'Ăąme humaine son esprit, C'est qu'il se mĂ©prenait alors sur l'Ăąme humaine. Maintenant, va, mon Livre, oĂč le hasard te mĂšne. MELANCHOLIA A Ernest Boutier. I RÉSIGNATION Tout enfant, j'allais rĂȘvant Ko-Hinnor, SomptuositĂ© persane et papale, HĂ©liogabale et Sardanapale! Mon dĂ©sir crĂ©ait sous des toits en or, Parmi les parfums, au son des musiques, Des harems sans fin, paradis physiques! Aujourd'hui plus calme et non moins ardent, Mais sachant la vie et qu'il faut qu'on plie, J'ai dĂ» refrĂ©ner ma belle folie, Sans me rĂ©signer par trop cependant. Soit! le grandiose Ă©chappe Ă  ma dent, Mais fi de l'aimable et fi de la lie! Et je hais toujours la femme jolie! La rime assonante et l'ami prudent. II NEVERMORE Souvenir, souvenir, que me veux-tu? L'automne Faisait voler la grive Ă  travers l'air atone, Et le soleil dardait un rayon monotone Sur le bois jaunissant oĂč la bise dĂ©tone. Nous Ă©tions seul Ă  seule et marchions en rĂȘvant, Elle et moi, les cheveux et la pensĂ©e au vent. Soudain, tournant vers moi son regard Ă©mouvant Quel fut ton plus beau jour!» fit sa voix d'or vivant, Sa voix douce et sonore, au frais timbre angĂ©lique. Un sourire discret lui donna la rĂ©plique, Et je baisai sa main blanche, dĂ©votement. —Ah! les premiĂšres fleurs qu'elles sont parfumĂ©es! Et qu'il bruit avec un murmure charmant Le premier oui qui sort de lĂšvres bien-aimĂ©es! III APRÈS TROIS ANS Ayant poussĂ© la porte Ă©troite qui chancelle, Je me suis promenĂ© dans le petit jardin Qu'Ă©clairait doucement le soleil du matin, Pailletant chaque fleur d'une humide Ă©tincelle. Rien n'a changĂ©. J'ai tout revu l'humble tonnelle De vigne folle avec les chaises de rotin... Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle. Les roses comme avant palpitent; comme avant, Les grands lys orgueilleux se balancent au vent. Chaque alouette qui va et vient m'est connue. MĂȘme j'ai retrouvĂ© debout la VellĂ©da, Dont le plĂątre s'Ă©caille au bout de l'avenue. —GrĂȘle, parmi l'odeur fade du rĂ©sĂ©da. IV VOEU Ah! les oarystis! les premiĂšres maĂźtresses! L'or des cheveux, l'azur des yeux, la fleur des chairs, Et puis, parmi l'odeur des corps jeunes et chers, La spontanĂ©itĂ© craintive des caresses! Sont-elles assez loin toutes ces allĂ©gresses Et toutes ces candeurs! HĂ©las! toutes devers Le Printemps des regrets ont fui les noirs hivers De mes ennuis, de mes dĂ©goĂ»ts, de mes dĂ©tresses! Si que me voilĂ  seul Ă  prĂ©sent, morne et seul, Morne et dĂ©sespĂ©rĂ©, plus glacĂ© qu'un aĂŻeul, Et tel qu'un orphelin pauvre sans soeur aĂźnĂ©e. O la femme Ă  l'amour cĂąlin et rĂ©chauffant, Douce, pensive et brune, et jamais Ă©tonnĂ©e, Et qui parfois vous baise au front, comme un enfant V LASSITUDE A batallas de amor campo de pluma. CONGORA De la douceur, de la douceur, de la douceur! Calme un peu ces transports fĂ©briles, ma charmante. MĂȘme au fort du dĂ©duit, parfois, vois-tu, l'amante Doit avoir l'abandon paisible de la soeur. Sois langoureuse, fais ta caresse endormante, Bien Ă©gaux les soupirs et ton regard berceur. Va, l'Ă©treinte jalouse et le spasme obsesseur Ne valent pas un long baiser, mĂȘme qui mente! Mais dans ton cher coeur d'or, me dis-tu, mon enfant, La fauve passion va sonnant l'oliphant. Laisse-la trompetter Ă  son aise, la gueuse! Mets ton front sur mon front et ta main dans ma main, Et fais-moi des serments que tu rompras demain, Et pleurons jusqu'au jour, ĂŽ petite fougueuse! VI MON RÊVE FAMILIER Je fais souvent ce rĂȘve Ă©trange et pĂ©nĂ©trant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout Ă  fait la mĂȘme Ni tout Ă  fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur, transparent Pour elle seule, hĂ©las! cesse d'ĂȘtre un problĂšme Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blĂȘme, Elle seule les sait rafraĂźchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse?—Je l'ignore. Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore, Comme ceux des aimĂ©s que la Vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave; elle a L'inflexion des voix chĂšres qui se sont tues. VII A UNE FEMME A vous ces vers, de par la grĂące consolante De vos grands yeux oĂč rit et pleure un rĂȘve doux, De par votre Ăąme, pure et toute bonne, Ă  vous Ces vers du fond de ma dĂ©tresse violente. C'est qu'hĂ©las! le hideux cauchemar qui me hante N'a pas de trĂȘve et va furieux, fou, jaloux, Se multipliant comme un cortĂšge de loups Et se pendant aprĂšs mon sort qu'il ensanglante. Oh! je souffre, je souffre affreusement, si bien Que le gĂ©missement premier du premier homme ChassĂ© d'Éden n'est qu'une Ă©glogue au prix du mien! Et les soucis que vous pouvez avoir sont comme Des hirondelles sur un ciel d'aprĂšs-midi, —ChĂšre,—par un beau jour de septembre attiĂ©di. VIII L'ANGOISSE Nature, rien de toi ne m'Ă©meut, ni les champs Nourriciers, ni l'Ă©cho vermeil des pastorales Siciliennes, ni les pompes aurorales, Ni la solennitĂ© dolente des couchants. Je ris de l'Art, je ris de l'Homme aussi, des chants, Des vers, des temples grecs et des tours en spirales Qu'Ă©tirent dans le ciel vide les cathĂ©drales, Et je vois du mĂȘme oeil les bons et les mĂ©chants. Je ne crois pas en Dieu, j'abjure et je renie Toute pensĂ©e, et quant Ă  la vieille ironie, L'Amour, je voudrais bien qu'on ne m'en parlĂąt plus. Lasse de vivre, ayant peur de mourir, pareille Au brick perdu jouet du flux et du reflux, Mon Ăąme pour d'affreux naufrages appareille. EAUX-FORTES A François CoppĂ©e. I CROQUIS PARISIEN La lune plaquait ses teintes de zinc Par angles obtus. Des bouts de fumĂ©e en forme de cinq Sortaient drus et noirs des hauts toits pointus. Le ciel Ă©tait gris, la bise pleurait Ainsi qu'un basson. Au loin, un matou frileux et discret Miaulait d'Ă©trange et grĂȘle façon. Moi, j'allais, rĂȘvant du divin Platon Et de Phidias, Et de Salamine et de Marathon, Sous l'oeil clignotant des bleus becs de gaz. II CAUCHEMAR J'ai vu passer dans mon rĂȘve —Tel l'ouragan sur la grĂšve, D'une main tenant un glaive Et de l'autre un sablier, Ce cavalier Des ballades d'Allemagne Qu'Ă  travers ville et campagne, Et du fleuve Ă  la montagne, Et des forĂȘts au vallon, Un Ă©talon Rouge-flamme et noir d'Ă©bĂšne, Sans bride, ni mors, ni rĂšne, Ni hop! ni cravache, entraĂźne Parmi des rĂąlements sourds Toujours! toujours! Un grand feutre Ă  longue plume Ombrait son oeil qui s'allume Et s'Ă©teint. Tel, dans la brume, Éclate et meurt l'Ă©clair bleu D'une arme Ă  feu. Comme l'aile d'une orfraie Qu'un subit orage effraie, Par l'air que la neige raie, Son manteau se soulevant Claquait au vent, Et montrait d'un air de gloire Un torse d'ombre et d'ivoire, Tandis que dans la nuit noire Luisaient en des cris stridents Trente-deux dents. III MARINE L'OcĂ©an sonore Palpite sous l'oeil De la lune en deuil Et palpite encore, Tandis qu'un Ă©clair Brutal et sinistre Fend le ciel de bistre D'un long zigzag clair, Et que chaque lame, En bonds convulsifs, Le long des rĂ©cifs, Va, vient, luit et clame, Et qu'au firmament, OĂč l'ouragan erre, Rugit le tonnerre Formidablement. IV EFFET DE NUIT
jadispris en chasse pour leurs vols: escroc: en voila un qui chasse plutot les pigeons pris en vol requin qui chasse les pigeons: gibier: animal que l'on chasse animaux pris a la chasse animaux sauvages comestibles que l'on chasse il anime la chasse objet de chasse: gibiers: sont pris en chasse: ramier : sel: chasse neige il est pris par French Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese English Synonyms Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese Ukrainian These examples may contain rude words based on your search. These examples may contain colloquial words based on your search. MĂȘme si un ennemi le prenait en chasse, il Ă©tait suffisamment rapide pour le semer. Even if the enemy began chasing, it was fast enough to shake them. Chaque fois qu'un vĂ©hicule, une motocyclette ou un camion s'aventurait sur cette route, l'ennemi le prenait en chasse et lui rĂ©servait une copieuse mitraille. Each time a vehicle, motor bike, or truck went along this road the Germans would start to chase it with shell after shell. Parti 5e, Adrien dĂ©passait un Ă  un ses adversaires et prenait en chasse le premier, Ă  2' devant lui. Starting 5th, Adrien passed his opponents one by one and started hunting down the leader, 2' ahead of him. Other results La chasse de Mark Chase prenait fin. Chelsea travaillait sous les ordres d'un cruel vice-roi qui prenait du plaisir Ă  chasser les gens. Chelsea worked under a cruel viceroy who took joy out of hunting people. Par ailleurs, la NorvĂšge avait apportĂ© la preuve que les prĂ©cautions qu'elle prenait pour la chasse au phoque dans ses eaux valait bien celles qu'elle prenait pour l'abattage de son bĂ©tail. In addition, Norway had demonstrated that humane harvesting methods used in Norwegian seal hunting compared favourably to those used on domestic livestock. J'ai toujours craint, et je l'ai dit au tout dĂ©but, que cela se transforme en chasse aux sorciĂšres partisane, et c'Ă©tait d'ailleurs le cas par moments; Ă  d'autres moments, cela prenait des allures de cirque politique. I was always fearful and said from the very beginning that I thought this was going to turn into a political partisan witch hunt, which, at times, it certainly did, and at other times appeared to be a bit of a political circus. Le document prenait en compte les renseignements reçus jusqu'au 21 avril 2017. The document had taken account of information received up to 21 April 2017. Cette mesure transitoire prenait en compte la diffĂ©rence de capacitĂ© entre soumissionnaires nationaux et Ă©trangers. It was an interim measure that took account of the difference in the capacity between domestic and foreign bidders. Au lancement, le service prenait en charge 6 devises. At launch, the service supported 6 currencies. La proposition du PrĂ©sident prenait en considĂ©ration un certain nombre de points que le Mexique avait mentionnĂ©s. The Chairman's proposal took into consideration a number of points Mexico had made. Sa dĂ©lĂ©gation souhaitait prĂ©senter une proposition qui prenait en considĂ©ration les aspects de la diversitĂ© biologique. Her delegation would like to submit a proposal considering biodiversity aspects. Il prenait en compte, les moindres dĂ©tails. He gave attention to the smallest detail. Elle prenait en considĂ©ration les progrĂšs scientifiques ainsi que les recommandations de l'OIE. It took into account scientific advances as well as OIE recommendations. Le voyage de Bath Ă  Newbury prenait en moyenne trois jours et demi. The journey from Bath to Newbury took an average of three and a half days. L'organisation prenait en mĂȘme temps des mesures pour rationaliser les dĂ©penses d'administration. At the same time, the organization was taking steps to improve efficiencies related to administrative costs. Fait plus important encore, la proposition prenait en considĂ©ration les ressources existantes du SecrĂ©tariat. More importantly, the proposal took into consideration the existing resources of the Secretariat. Ensuite, la proposition prenait en considĂ©ration les problĂšmes possibles en matiĂšre de ressources du SecrĂ©tariat. Secondly, the proposal took into consideration the possible resource constraints of the Secretariat. En 1988, AndrĂ© prenait en charge le bureau de Corpav QuĂ©bec. In 1988, AndrĂ© took over the Corpav Quebec office. Dans les versions prĂ©cĂ©dentes, Java PPL prenait en charge uniquement les documents PDF. In previous releases, Java PPL supported only PDF documents. No results found for this meaning. Results 2581. Exact 3. Elapsed time 540 ms. Documents Corporate solutions Conjugation Synonyms Grammar Check Help & about Word index 1-300, 301-600, 601-900Expression index 1-400, 401-800, 801-1200Phrase index 1-400, 401-800, 801-1200 Toutel'actualitĂ© Nationale. National; Politique; Economie; SociĂ©tĂ©; Culture; Sport; RĂ©gions; Grand Reportage; Barrage de Memve'ele
Ayant dĂ©couvert rĂ©cemment chez un bouquiniste bisontin un exemplaire du magnifique ouvrage de Roland Tessier Le Bar de l’Escadrille », rapportant la situation et l’esprit de notre aviation de chasse durant les sombres annĂ©es 39/40, j’ai eu envie de raconter, en une sorte de clin d’Ɠil Ă  mes frĂšres d’armes 
 d’une Ă©poque plus rĂ©cente et avec un brin d’auto dĂ©rision, quelques pĂ©ripĂ©ties opĂ©rationnelles qui, Ă  l’heure des drones de combat pilotĂ©s Ă  des milliers de kilomĂštres du théùtre d’opĂ©rations, pourront sembler futiles aux plus jeunes d’entre nous.
Les faits relatĂ©s sont rĂ©els. Ils eurent lieu au printemps 79 dans une contrĂ©e exotique oĂč nous nous retrouvĂąmes plongĂ©s, officiers ou sous officiers, pilotes, mĂ©caniciens, basiers, loin de la Lorraine et de nos foyers, dans un quotidien dĂ©sordonnĂ© pour ne pas dire un peu chaotique. Et ceci Pour le bien du service, l’exĂ©cution des rĂšglements militaires, l’observation des lois et le succĂšs des armes de la France» Fermons le fiction. Nulle bravoure, ni exploit ou quelconque fait d’armes dans ces lignes. Simplement, Ă  partir de souvenirs et de documents personnels, un tĂ©moignage sur la vie chahutĂ©e de quelques pilotes et mĂ©canos confrontĂ©s Ă  la gesticulation politico-militaire de la fin des annĂ©es 70 en annĂ©es auparavant, pour la plupart d’entre-nous, nous avions choisi la 11Ăšme EC. L’avion Ă©tait prestigieux le premier chasseur supersonique en palier, jadis intĂ©grĂ© aux forces de l’OTAN, pour certains ravitaillables en vol et aptes Ă  la mission de dissuasion nuclĂ©aire. Un des acteurs de la guerre du Vietnam
Quittant le sympathique MystĂšre IV sous le soleil arcachonnais et arrivant Ă  Toul en aoĂ»t 75 dans le brouillard lorrain, le premier contact avec le monstre fut impressionnant. Sa stature physique, amplifiĂ©e par les histoires des anciens, le rendait effrayant et il paraissait quasiment indomptable pour un jeune pilote de chasse sortant d’ lĂącher restait fois acquis, il demeura mĂ©morable pour bon nombre d’entre nous. F100 2-11 au roulageMais rapidement, en mĂ©tropole, le vĂ©nĂ©rable F100 dut laisser la place Ă  un successeur qui tout d’abord suscita au sein de la 11Ăšme EC une certaine dĂ©fiance pour ne pas dire une mĂ©fiance certaine
Et du statut de pilote d’ avion d’homme » nous dĂ»mes passer sous les fourches caudines de l’escadre bragarde pour obtenir celui de pilote de pour notre escadre touloise, changer d’avion ne signifiait pas changer de mission. La mission d’intervention extĂ©rieure prit pour nous toute sa dimension car l’avion, conçu dĂ©s son origine pour l’appui tactique et apte au ravitaillement en vol, Ă©tait l’outil idĂ©al pour aller dĂ©fendre 
 les intĂ©rĂȘts français Ă  l’autre bout du allions Ă©crire le dĂ©but de sa glorieuse Jaguar mĂȘme s’il tenait la PC sur freins contrairement au F 100 !
 » ou s’il dĂ©collait parce que la terre Ă©tait ronde » allait sortir ses griffes et montrer ses crocs pendant les trois dĂ©cennies qui cours de ces multiples dĂ©tam », nous fĂ»mes vaillamment Ă©paulĂ©s par les dits bragards » d’abord en groupe mixte de pilotes 7Ăšme EC/11Ăšme EC puis, plus tard, en escadron constituĂ© de la 7 ou de la 11. Ils dĂ©laissĂšrent, non sans un certain plaisir, l’étroit bunker de leur astreinte nuclĂ©aire pour venir survoler avec nous les immensitĂ©s leurs combinaisons de vol, les pilotes y arborĂšrent indiffĂ©remment le Corbac et le Renard du 2/11*, le Casque de Bayard du 1/7, le Masque de la ComĂ©die du 1/11 ou encore le Chardon de Lorraine du 3/7 sans oublier bien sĂ»r le Chat trĂšs coquin
 et le Serpent trĂšs venimeux
 du 3/11
 * lire Ă  ce sujet le savoureux Plein badin pour badineries Ă  l’escadron de chasse 2/11 Vosges » Ă©crit et illustrĂ© par J Ribaillier, M Dutrey et JM Maujean. Aux Ă©ditions » 123, boulevard Grenelle 75015 ParisDepuis cette Ă©poque exaltante, le Jaguar a Ă©tĂ© Ă  son tour dĂ©trĂŽnĂ© par un avion aux capacitĂ©s fantastiques et multiples. Ce dernier porte dĂ©sormais sur sa dĂ©rive aux protubĂ©rances secrĂštes, certains de ces prestigieux insignes d’escadrons aujourd’hui dissous mais dont les traditions sont fidĂšlement reprises par des pilotes qui le font voler avec brio et qui ont l’ñge de nos et l’engagement, quoi de plus efficace
 pour tenter de repousser indĂ©finiment la prophĂ©tie de Michel Foucault Alors on peut bien parier que l’homme s’effacerait comme Ă  la limite de la mer un visage de sable
 » ?Donc, avec en fond sonore le cĂ©lĂšbre morceau musical Staying Alive » qui animait toutes les soirĂ©es de l’époque, venons en aux faits
Jaguar en ravitaillementNous sommes le 10 fĂ©vrier 1979. La veille, nous avions quittĂ© Toul par voie routiĂšre et profitĂ© de la soirĂ©e autour d’une table parisienne sympathique, sachant que les jours prochains n’allaient pas ĂȘtre spĂ©cialement gastronomiques mĂȘme si les opĂ©rations sur place restaient calmes depuis plusieurs semaines et nous laissaient ainsi le loisir de profiter des quelques bons restaurants locaux. DĂ©sormais la routine s’était installĂ©e et les relĂšves vers Dakar ou N’Djamena se faisaient par Ă©quipes constituĂ©es pilotes et mĂ©canos via le transport aĂ©rien militaire et non plus sur coup de sifflet individuel » en Jaguar ou en C135, procĂ©dure qui avait eu la faveur du commandement au cours des premiers mois d’ une courte nuit Ă  la BTA base de transit Air de Balard, un dĂ©collage du Bourget vers 8h00, nous faisons une escale technique de 2h30 Ă  Tunis les DC6 commencent Ă  vieillir. Les autoritĂ©s aĂ©roportuaires nous y tiennent Ă  l’écart des autres passagers mĂȘme en tenue civile, il est difficile de passer incognito avec un avion Ă  cocardes françaises sur le tarmac
. DC6Cela nous laisse le temps de rĂ©flĂ©chir Ă  un Ă©vĂšnement survenu la veille au restaurant lors du rĂšglement de la facture. Qui a omis de rĂ©gler sa part parmi nous six ? Le fait est qu’au final nous avons du payer chacun le sixiĂšme de la part manquante mĂȘme persuadĂ© d’avoir payĂ© notre Ă©cot
 Cela demeurera un mystĂšre. Mais ce fut sĂ»rement le prĂ©sage que rien n’allait se dĂ©rouler comme prĂ©vu. AprĂšs 6h45 de vol, nous arrivons Ă  N’Djamena. L’accueil que nous rĂ©serve l’équipe descendante » sur le parking est triomphal. On sait ce que l’on quitte
Nous voici de nouveau sur la terre tchadienne, que, pour certains d’entre nous, nous avons laissĂ©e il y a quelques semaines Ă  reprenant le manifeste passagers, voici les nouveaux arrivants pilotesLa compo de l’équipeLa journĂ©e a Ă©tĂ© longue et chaude. La nuit sous moustiquaire le sera lendemain, journĂ©e de prise de marques avec le briefing du chef descendant le Cdt Sanchez, notre ancien commandant d’escadron sur la situation politique au Tchad, les consignes opĂ©rationnelles, le niveau de suretĂ© et de sĂ©curitĂ© en prenons en compte la nouvelle paillotte OPS. Que ne font pas nos amis commissaires pour nous rendre le sĂ©jour agrĂ©able Babyfoot, table de jeu, rĂ©frigĂ©rateur, etc., etc. ?!
 Il est heureux que l’expĂ©rience prĂ©cĂ©dente du Ball-trap », bien qu’assez ludique, n’ait pas Ă©tĂ© poursuivie, au titre de la sĂ©curitĂ© individuelle ! Un fusil de chasse entre les mains d’un pilote n’est pas toujours trĂšs rassurant, ce dernier fĂ»t-il de chasse ! 
 ExpĂ©rience vĂ©cue quelques mois auparavant Nous voici au Tchad pour un mois et demi. Autant organiser les temps libres pendant la journĂ©e, mĂȘme si le soir la Gala a le goĂ»t du bonheur
 » et que, d’entrĂ©e grand seigneur, je paie la premiĂšre bouteille de whisky en ville dans un night club bien frĂ©quentĂ© 
 qui, profitant de l’accalmie actuelle, a rouvert ses portes au grand bonheur que du bonheur au Tchad ! des expatriĂ©s et barbouzes de toutes nationalitĂ©s. Nous faisons preuve de modĂ©ration 
Ce ne sera pas la derniĂšre, pensons nous
C’est le jour d’aprĂšs, le mardi 12 fĂ©vrier, que les choses se gĂątent. Profitant de la fraĂźcheur toute relative que notre destrier apprĂ©cie particuliĂšrement au dĂ©collage, notre chef s’est remis en vol avec Michel pour une RAV vol de reconnaissance de routine 
c’est d’ailleurs parfois au retour de tels vols que les mĂ©caniciens constatent des impacts de petit calibre sur les avions !. Lissonde et Debernardi en ont profitĂ© pour faire une balade 
 en Atlantic. Il est toujours intĂ©ressant de voir travailler un Ă©quipage rompu au guidage de nos chasseurs sur un objectif. Certes notre calculateur de navigation est une aide prĂ©cieuse dans un environnement cartographique europĂ©en mais, au dessus du dĂ©sert, pour se recaler et trouver une Land Rover Ă  l’ombre d’un kĂ©kĂ©, il en va diffĂ©remment *. *Seuls les Jaguar anglais Ă©taient Ă©quipĂ©s Ă  cette Ă©poque lĂ  d’une centrale Ă  inertie, beaucoup plus prĂ©cise et fiable que notre calculateur Doppler mais dont l’alignement nĂ©cessitait une procĂ©dure relativement lourde. Cependant, sur les chaudes terres africaines, nous enviions plutĂŽt nos collĂšgues britanniques pour les 800kg de poussĂ©e supplĂ©mentaire par rĂ©acteur dont ils disposaient !
Alors que tout le monde rentre de mission, vers 11h, la situation Ă©volue considĂ©rablement et les Ă©vĂ©nements se prĂ©cipitent. Nous nous retrouvons consignĂ©s sur la AD4 Skyreaders de l’armĂ©e tchadienne viennent de dĂ©coller. De nombreuses fumĂ©es noires s’élĂšvent dĂ©jĂ  du centre ville pendant que les Sky » poursuivent leur noria canons et roquettes au dessus des habitations distantes de deux ou trois kilomĂštres de nos alvĂ©oles merlonnĂ©s. Je songe que ma bouteille de whisky Ă  peine entamĂ©e doit ĂȘtre sous les dĂ©combres
 N’Djamena le parking Atlantic, AD4, JaguarAD4 TchadienVers 16h, les Transall amĂšnent les premiers AML de la LĂ©gion EtrangĂšre en provenance d’ sortant du TransallNous passons en alerte en 30mn
pour dĂ©coller vers oĂč ?19h. Souper au mess des officiers au son des rafales de kalachnikov et des coups de mortier dans la Nous repassons en alerte 1h. Nous sommes cantonnĂ©s Ă  l’infirmerie qui est gardĂ©e. La nuit se passera, toujours en alerte, avec le pistolet MAC 50 sous l’oreiller. Nous avons quelques doutes sur le filtrage effectuĂ© Ă  l’entrĂ©e de la base par des troupes locales dont la fiabilitĂ© reste alĂ©atoire.Le lendemain, mardi 13, aprĂšs une nuit ponctuĂ©e de rafales et d’explosions dans la ville, nous dĂ©collons avec Morel pour une RAV Reconnaissance Ă  Vue Ă  proximitĂ© de N’ pour donner le change en montrant les griffes » du Jaguar et lancer le signal fort que tout dĂ©bordement de la part des belligĂ©rants vis-Ă -vis de notre cantonnement se soldera par une intervention militaire française directe ?Les Sky » continuent Ă  pilonner la ville
Nous intuitons » que du cotĂ© du Quai d’Orsay et de la rue Saint Dominique, on cogite officier mĂ©canicien, le Cne Jullien, abandonne le confort 
 de l’hĂŽtel La Tchadienne pour venir bĂ©nĂ©ficier de la relative sĂ©curitĂ© de notre salle d’OPS avec divers barbouzes dont la situation en ville est devenue repas sont dĂ©sormais pris Ă  l’ordinaire et des familles europĂ©ennes commencent Ă  affluer sur la base. Nous sommes cantonnĂ©s dans nos locaux et occupons notre temps comme nous le pouvons

prĂȘts Ă  dĂ©gainer !
Pilotes mercenairesPas de sieste, nous maintenons l’alerte, entretenons nos rĂ©flexes au babyfoot et luttons contre toute viscositĂ© mentale en jouant au bridge. La paire Lissonde/Michel s’éclate avec des annonces Ă©poustouflantes, mettant Ă  mal la vision du jeu de la paire adverse Morel/Ouvrard. La tension baisse d’un cran Ă  la pĂ©tanque oĂč les mĂ©canos sont dĂ©cidemment imbattables !Un tour sur la base envahie par des ressortissants français et quelques autres
 avant d’apprendre que nous servirons dĂ©sormais de nounous » Ă  tous ces gens lĂ  pour la soirĂ©e avant qu’ils ne soient rapatriĂ©s en France par voie la plupart, ils sont calmes et rĂ©signĂ©s. Nous allons bavarder avec eux au sujet de la situation en ville et des possibilitĂ©s d’évacuation pour les rassurer un mĂ©caniciens, sous les ordres du Major Krupa et de l’A/C Moukha, s’occupent avec efficacitĂ© et avec un dĂ©vouement qui les honore des 800 europĂ©ens qui se sont rĂ©fugiĂ©s sur la base, qu’il faut faire manger Ă  l’ordinaire et loger un peu partout dans des conditions pour le moins 21h, on conseille aux gens d’ĂȘtre patients et d’attendre ici en sĂ©curitĂ©. Il y a un C135 et un DC10 prĂ©vus pour eux mais les tirs qui se poursuivent du cotĂ© de l’aĂ©roport civil et Ă  proximitĂ© de la tour rendent leur atterrissage avant demain trĂšs MAC 50 sous le bras, nous rejoignons notre infirmerie car les barbouzes occupent notre case cette nuit encore
* * Depuis ces jours lĂ , la figure emblĂ©matique de l’agent secret qui n’est jamais pris de court et qui loge dans des palaces s’est sĂ©rieusement estompĂ©e dans mon imagination.Pour les Ă©quipiers, celle-ci se rĂ©sumera Ă  quelques croquis du trajet, des circuits d’arrivĂ©e rapidement griffonnĂ©s avec mention de quelques frĂ©quences et bien sĂ»r de la plaquette du terrain d’arrivĂ©e 
Le jeudi 15, aprĂšs une nuit interrompue Ă  2h du matin par un vĂ©ritable feu d’artifice sur la ville, les mĂ©canos dĂ©couvrent qu’un Jaguar a pris des impacts de balles de petit calibre. Notre salle d’ops est Ă©galement percĂ©e. SĂ»rement une balle perdue, mais ici tout est possible! Un trou dans la salle d’OPS !A 11h, ordre nous est donnĂ© d’évacuer les avions sur faisons rapidement nos sacs qui seront acheminĂ©s lĂ  bas par Atlantic et nous nous attachons Ă  prĂ©parer la mission car, Momo mis Ă  part, personne n’a jamais atterri Ă  un terrain civil international et notre documentation de vol pour la croisiĂšre et pour l’arrivĂ©e par conditions mĂ©tĂ©o marginales est des plus les Ă©quipiers, celle-ci se rĂ©sumera Ă  quelques croquis du trajet, des circuits d’arrivĂ©e rapidement griffonnĂ©s avec mention de quelques frĂ©quences et bien sĂ»r de la plaquette du terrain d’arrivĂ©e 
Le chef dĂ©cide de faire dĂ©coller les 6 avions en snake » Ă  20 secondes, en espĂ©rant que personne ne va faire du tir au pigeon 
 en bout de piste au mieux avec une kalach au pire avec un missile sur les derniers soucieuxLe dĂ©collage a lieu Ă  14h30. Il fait 37°C. Pas de tir dispositif finit de se rassembler au niveau de croisiĂšre Ă  l’aide du Tacan en mode Air/Air et file » sur Libreville
que nous atteignons aprĂšs 1h50 de l’arrivĂ©e, un grain sur la piste et 1000ft de plafond. Nous arrivons sur l’ILS et sur la pointe des pieds 
 car nous n’avons pas de plan de vol et personne ne nous roulage, le conditionnement crache l’humiditĂ© Ă©quatoriale dans le cockpit rompant avec la sĂ©cheresse tchadienne coupĂ©s et sĂ©curitĂ©s de siĂšge mises en place, nous apprĂ©cions l’échelle escamotable qui Ă©quipe utilement le Jaguar monoplace pour prendre contact avec le sol gabonais et retrouver nos esprits. Le personnel aĂ©roportuaire converge vers nous un peu surpris par ce dĂ©ploiement de force minutes plus tard, l’apparition d’uniformes français accompagnĂ©s de personnels de l’ambassade nous rassure quelque peu ainsi que la prĂ©sence d’un contrĂŽleur français travaillant pour le compte de l’ASECNA Agence pour la SĂ©curitĂ© de la Navigation AĂ©rienne en Afrique. Un copain Ă  Momo !
Il faut sĂ©curiser les avions, nous trouver un logement, prĂ©venir le commandement que nous sommes arrivĂ©s Ă  bon port Ă  l’époque pas de tĂ©lĂ©phone satellite et sans le C135 nous ne disposons pas de HF 
 Finalement la situation se dĂ©bloque sĂ»rement en trĂšs haut lieu
 et aprĂšs quelques tergiversations hĂŽtel Gambas ou base militaire ?.. nous finissons dans les bungalows du mess KĂ©rĂ©lĂ©, petit paradis sur terre en bord de plage
oĂč nous serons rejoints peu de temps aprĂšs par l’équipage du C135 avec pour CDB une figure haute en couleur des pĂ©niches » le Cne Pestel. Avec lui, nous pouvons aller au bout du monde ! Il l’a prouvĂ© en Mauritanie
Les quelques mĂ©canos du dĂ©tachement venus en Atlantic pour nous assister en premier Ă©chelon seront logĂ©s au Gambas et ne s’en plaindront pas !
 Le mess du KĂ©rĂ©lĂ© Ă  Libreville Ouf ! Mes avions sont arrivĂ©s Ă  bon port ! Ouf ! Je suis vivant !Pilotes Ă  la plageLe soir, Tricoche, le contrĂŽleur qui nous a accueillis un ancien de Toul nous fait la visite de la ville et de ses lieux d’ certains d’entre nous, aprĂšs les chaleurs de la journĂ©e et les nerfs mis Ă  rude Ă©preuve au cours de ces derniers temps, la soirĂ©e s’achĂšve dans une bonne humeur communicative
 .Pilotes fatiguĂ©s aprĂšs une soirĂ©e arrosĂ©e
mais le retour aux bungalows s’avĂšre ĂȘtre une difficile navigation !Le lendemain, 16 fĂ©vrier, venus accueillir les mĂ©canos Ă  leur descente du Transall, les Cne Morel et Ouvrard se font mettre au garde Ă  vous » sur le tarmac par un officier gabonais qu’ils ont omis de saluer. A notre corps dĂ©fendant, on ne saluait pas Ă  cette Ă©poque sans couvre chef, mais nous n’étions pas trop en position d’argumenter face Ă  un Commandant Major trĂšs irritĂ© qui, de plus, Ă©tait sur ses terres que nous devions fouler avec diplomatie.Pilotes au garde Ă  vousNous sommes en alerte Ă  1h sans aucun moyen de communication si ce n’est par estafette, ni aucun moyen de transport pour aller Ă  l’ nous installe finalement dans une salle qualifiĂ©e de salle d’ops » chez l’armĂ©e de l’air gabonaise sur l’aĂ©roport. Nous y prĂ©parons avec les moyens du bord et l’équipage du ravitailleur une mission d’appui feu ? Ă  2 avions sur le Tchad plus de 1000 NM, sĂ»rement un record !
.La plaisanterie dure deux heures puis nous retournons dĂ©finitivement Ă  17 de week end pour les braves. Nous sommes en alerte Ă  1 h. Mais plus de tentative de record en vue. La journĂ©e se termine au restaurant de l’Intercontinental avec Lissonde, Michel, BĂ©bert et Joseph, le barbouze de N’ Djamena qui a rĂ©ussi Ă  se faire pousser vers Libreville par quel moyen ?Quelques passes de Blackjack » au casino de l’hĂŽtel, ce qui nous donne l’occasion d’amĂ©liorer notre anglais car le personnel y est exclusivement britannique et 
fĂ©minin. Nous apprenons qu’il est formĂ© Ă  Port Gentil, la ville de notre aĂ©rodrome de dĂ©gagement situĂ© plus au sud et pratiquement sur l’ terminons la soirĂ©e au Sunset, une boite en vogue de 18 avions en alerte Ă  1 h. On ne sait trop pourquoi et pour quelle sortie en voilier du club nautique se solde par un retour Ă  la rame de l’équipage, plus habituĂ© au vol en patrouille qu’aux manƓuvres sophistiquĂ©es de la marine Ă  voile. Membres d’équipage Lissonde, Michel, Ouvrard. Deux capitaines de trop pour un bateau fĂ»t il une Caravelle » de 5 m de long !Le soir, nous participons Ă  une manip 
 organisĂ©e par Momo chez des civils en poste au Gabon en prĂ©sence du LCL Courteille l’ancien commandant du 1/11 pour son dernier jour de dĂ©tachement comme Adjoint Air Ă  Libreville, heureux de retrouver des anciens du F 100. Billy » Lissonde reste de permanence pour soigner ses coups de soleil de la sortie en 19 Ă  1 amis de la veille viennent voir les Jaguar de plus midi, le team ops Lissonde/ Michel lance un dĂ©fi au team technique Bouaniche/ Aimable au dĂ©fi est de taille et mĂȘme l’excuse menĂ©e au bout » ne suffira pas Ă  nos courageux pilotes pour venir Ă  bout de nos indestructibles mĂ©canos aussi Ă  l’aise sur une aile d’avion en plein cagnard qu’à une table de tripot! Avec le dĂ©part de Courteille, notre chef Pecc » devient le grand chef Air » Ă  Libreville. Honneur Ă  lui !Pilote CHEF !Mardi 20 Ă  1 le prĂ©sident gabonais arrivant de France avec son B 747 et diplomatie obligeant, nous dĂ©collons pour aller l’intercepter et l’escorter prĂ©cĂ©dĂ©s par les Fouga de la garde prĂ©sidentielle » jusqu’à ce qu’il touche la piste de Libreville
Peccavy, Michel, Morel, Ouvrard escortant le prĂ©sident Bongo
Remettant les gaz, nous en profitons pour aller franchir l’équateur quelques miles nautiques plus au sud, saluant Neptune d’un tonneau avant d’aller fĂȘter dignement l’évĂšnement Ă  soir lĂ , selon de nouvelles consignes venues d’on ne sait oĂč, nous devons tenir le poste d’Officier de Permanence OpĂ©rationnelle au Camp De Gaulle ArmĂ©e de Terre. Ce sera l’unique fois et le rĂ©dacteur de ces lignes, l’unique impĂ©trant
Mercredi 21 fĂ©vrierProfitant des retombĂ©es diplomatiques de la veille, Lissonde passe l’équateur en Puma pour aller visiter la rĂ©serve de chasse prĂ©sidentielle
Equateur = champagne !Vers midi, atterrissages de deux Jaguar en provenance de Dakar avec VergnĂšres, Deltrieu, Estrugau et Ruffray pour la relĂšve avions. L’arrivĂ©e de nouvelles tĂȘtes, avec le courrier et les nouvelles du pays 
 constituent un des moments les plus apprĂ©ciĂ©s de tous les dĂ©tachements ! Sur le plan technique, la disponibilitĂ© remonte en mĂȘme temps que le soirĂ©e ne s’éternise pas car les mĂȘmes pilotes repartent le lendemain pour le convoyage retour, les uns en Jaguar, les autres en C 22 fĂ©vrierAprĂšs le dĂ©part des convoyeurs, la dispo avions est nous est donnĂ© de remonter les six avions le lendemain Ă  N’ Djamena vers soirĂ©e Ă  l’Intercontinental oĂč l’un d’entre nous son nom restera secret ! a dĂ©couvert le moyen de faire du sport tout en jouant Ă  la roulette selon une martingale savamment mise au point pendant la journĂ©e Ă  KĂ©rĂ©lĂ© 
AprĂšs deux heures de cette activitĂ© nous sommes physiquement et financiĂšrement extĂ©nuĂ©s par deux heures de roulette Et coup de gĂ©nie ou
de chance, l’inventeur de la dite martingale, voyant notre mise fondre comme neige au soleil nous sommes Ă  l’équateur !
 dĂ©cide de miser les quelques francs CF restants pour le panache !
 sur un numĂ©ro
 qui sort et nous rapporte 36 fois la mise 
La cagnotte de dĂ©part est sauve. Nous quitterons le Gabon, la tĂȘte haute !Vendredi 23 fĂ©vrierMission prĂ©vue dĂ©part en basse altitude au dessus du Gabon le persil » oĂč une Ă©jection n’est pas recommandĂ©e
, passage de l’équateur, ravitaillement sur le trajet vers N’ Djamena et de Peccavy, Michel, Morel et et Ouvrard restent au sol. ProblĂšme Ă©lectrique sur l’un des avions. ProblĂšme de masque 02 sur l’autre. Patrouille indissociable
Samedi 24 fĂ©vrierLe dĂ©tachement est donc scindĂ© en deux avec les deux tiers des effectifs pilotes et avions au Tchad et le reste Ă  Libreville avec les problĂšmes techniques et logistiques qui s’en soirĂ©e de plus Ă  Libreville mais depuis quinze jours nous sommes habituĂ©s aux incertitudes et avons appris Ă  gĂ©rer notre temps oĂč que nous la vie Ă  LibrevilleL’officier mĂ©cano est quant Ă  lui mis Ă  rude Ă©preuve en matiĂšre de stress et d’organisation car il faut gĂ©rer une logistique de loin sans avoir des moyens de liaison souples et efficaces. Dimanche 25 fĂ©vrierAprĂšs avoir rĂ©cupĂ©rĂ© un masque O2 et l’avion rĂ©parĂ©, Lissonde et Ouvrard remontent sur N’Djamena avec le ravitailleur ce qui leur permet d’arriver en basse altitude sur le Tchad, aprĂšs avoir fait un dĂ©tour et survolĂ© de vieux amis rencontrĂ©s quelques mois auparavant, les Ă©lĂ©phants de Wasa, rĂ©serve situĂ©e au Cameroun et que nous avions visitĂ©e jadis en 4X4 une manip complexe magnifiquement organisĂ©e par Deltrieu Ă  l’époque !
.SoirĂ©e localeLe dĂ©tachement se retrouve de nouveau au complet Ă  N’Djamena et loge dĂ©sormais Ă  la Tchadienne », un hĂŽtel dont le confort et l’éclat ont subi incontestablement l’outrage des annĂ©es depuis les temps anciens de la colonisation française
et qui sert dĂ©sormais de base avancĂ©e Ă  une population camerounaise trĂšs fĂ©minisĂ©e et trĂšs francophile
La piscine dont le systĂšme d’épuration a vieilli Ă©galement, a pris une couleur verdĂątre guĂšre engageante et surtout les pilotes français y ont un contentieux pour y avoir poussĂ© tout habillĂ© mais, Ă  leur dĂ©charge, ils ignoraient l’identitĂ© du lecteur de journal flĂąnant au bord de l’eau l’ambassadeur de Suisse dont la neutralitĂ© bienveillante fut ainsi outragĂ©e
 Lundi 26 fĂ©vrierMorel et Ouvrard dĂ©collent pour une RAV sans aucun objectif particulier si ce n’est de consommer les derniĂšres gouttes de carburant sur la base tchadienne et de montrer la prĂ©sence des Jaguar toujours et Debernardi assurent une mission d’OGT, histoire de sortir de la routine
.Mardi 27 fĂ©vrierPas de vol car il n’y a plus de pĂ©trole. Les avions dont la disponibilitĂ© est optimale restent au parking. Les pilotes et mĂ©canos s’occupent comme ils le peuvent au Saho La Tchadienne organisant des parties de blackjack qui permettent de remonter la caisse 28 fĂ©vrier fin du mois, ce n’est pas une annĂ©e bissextile !
Pas de vol. Echecs et bridge toute la journĂ©eJeudi 1er MarsMission OGT pour Lissonde et fait, il ne reste que 5 jours de carburant sur N’Djamena qu’il faut conserver au prĂ©texte de coup de feu » que nous souhaitons Ă  vrai dire mais qui n’arrivera pas. Le bac qui assure la liaison fluviale entre la ville et le Cameroun est inutilisable et l’approvisionnement de la ville alĂ©atoire. Par contre, il n’y a aucune restriction au mess. Messieurs les commissaires, chapeau bas !Il nous reste 27 jours de dĂ©tachement
Vendredi 2 marsMichel et Lissonde guidage AtlanticMorel et Ouvrard OGTHistoire de maintenir notre moral et de consommer avec parcimonie les derniĂšres gouttes de pĂ©trole sur la base chef, lui, a fini par succomber aux affres du tourisme africain et rĂ©cupĂšre dans sa chambre
Pilote CHEF victime du tourisme AfricainBrusquement Ă  16h45, nous passons en alerte en 17h15 on nous “scramble” avec Morel pour une reconnaissance sur Massaguet situĂ©e Ă  l’est de la capitale tchadienne pour quelques dizaines de nautiques. La nuit est proche et nous ne tardons pas Ă  rentrer, sans avoir rien vu lors de ce vol, mais profitant encore de la fin du jour car le balisage nocturne de la piste n’est pas avons-nous encore volĂ© pour manifester notre prĂ©sence !
Samedi 3 marsL’agitation semble reprendre sur N’ avions sont mis en alerte en 15 mn puis en chef n’écoutant que son devoir revient Ă  la tĂȘte de ses avions Peccavy, Michel et Morel sont dĂ©clenchĂ©s vers 10h15 avec le bingo vert » autorisation de tir Ă  vue mais reviennent sans avoir vu quoi que ce 4 marsPas de vol prĂ©vu mais nous sommes tous en alerte Ă  1h pour caisse escadrille remonte au blackjack et nous prĂ©parons nos valises pour un dĂ©part rapide
Nous commençons Ă  ĂȘtre rompus Ă  cet gars ne sera pas surpris cette fois;
Lundi 5 marsLe dĂ©part est confirmĂ© car les avions sont trĂšs exposĂ©s au sol et avec la pĂ©nurie de carburant, ils ne sont plus de beaucoup d’utilitĂ© au vers 10h de 4 avions vers Libreville Peccavy, Morel, Lissonde et leader semble pressĂ© de retrouver des cieux plus clĂ©ments et Ă  0 .9 de mach, ça laisse peu de marge aux n°3 et n°4 
Mais finalement les quatre avions finissent par se rassembler quelque part au dessus du Cameroun et arriveront Ă  Libreville sans encombre Ă  Debernardi, en panne hydraulique il y a des jours sans !
 finira par dĂ©coller avec Michel. Ils rejoindront le Gabon vers Adj Bouaniche et votre Ă©quipe de mĂ©canos ! Vous aurez toujours su ĂȘtre lĂ  au bon moment pour que nous puissions prendre l’air quand ça effet ca chauffe Ă  N’Djamena; seulement cinq mĂ©canos pourront nous rejoindre le soir pour prendre soin de nos destriers avec simplement leur propre caisse Ă  majoritĂ© de leurs effectifs arrivera avec du matĂ©riel le lendemain soir vers 20h. Le Cne Jullien sera obligĂ©, malgrĂ© lui, d’en laisser une poignĂ©e au Tchad, pour assurer la protection des locaux et du matĂ©riel technique plus lourd, dans des conditions extrĂȘmement exposĂ©es.
.Nous allons sĂ©journer ainsi Ă  Libreville jusquau 12 mars, notre temps Ă©tant partagĂ© entre les tenues d’alerte, quelques vols locaux d’entrainement au dessus de la forĂȘt Ă©quatoriale, d’autres plus lointains vers le Tchad mais aussi la planche Ă  voile, le bridge, l’Intercontinental, le Sunset
Compagnon de plage au KĂ©rĂ©lĂ©Mardi 13 marsEnfin, aprĂšs cette semaine Ă©quatoriale », la rentrĂ©e 
 se dĂ©clenche de maniĂšre un peu abrupte et matinale pour certains
 Pilotes de retour aux affairesLe dĂ©tachement se compose maintenant de 3 avions Ă  N’Djamena Peccavy, Debernardi et Lissonde et des 3 autres Ă  Libreville Morel, Michel, Ouvrard.Quelques jours plus tard, les 3 avions de Libreville, viennent faire une mission de reconnaissance vers le Tchad en laissant au passage Michel qui se pose Ă  N et Ouvrard retournent Ă  Libreville
.Une longue mission !Quand 2 pilotes se sentent solidaires
 Juju » notre officier mĂ©canicien remonte Ă  son tour au Tchad laissant la responsabilitĂ© de la mĂ©canique Ă  17 marsA Libreville 2 avions dispos, 2 pilotes dispos, 8 mĂ©canos dispos. Mais aussi du carburant !Nous sommes en alerte Ă  N’Djamena, la vie reprend tranquillement. Les pilotes sont protĂ©gĂ©s et logent maintenant sur la base dans les bĂątiments du LC2 en cours de rĂ©fection. Ce qui leur vaut quelques visites inattendues pendant leur sieste
Il est vrai que les ouvertures pour placer les climatiseurs ont Ă©tĂ© prĂ©vues trĂšs larges
Pilote CHEF , combat inĂ©gal avec un serpent 
Qui a le plus peur ? Le chef ? Non, l’intrus, car il finira dans la casserole d’une famille tchadienne
 ! Enfin, le 20 mars, les 2 derniers avions de Libreville remontent dĂ©finitivement sur le aurons encore une grande semaine d’inactivitĂ© aĂ©rienne avant la relĂšve Ă  N’ Djamena redevenue plus occupons notre temps Ă  faire du sport en attendant notre retour en 27, c’est Ă  notre tour d’accueillir la garde montante 
 Ă  sa descente d’avion. Pour certains, ça aura Ă©tĂ© le dernier sĂ©jour au Tchad
 notamment pour le rĂ©dacteur de ces lignes qui auront Ă©tĂ© Ă©crites avec une pensĂ©e spĂ©ciale pour son ami B Lissonde mort en SAC trois ans plus tard Ă  Libreville, pour Jullien et Bouaniche aujourd’hui disparus
A tous ceux du 2/11 qui participĂšrent Ă  ces Ă©vĂšnements en Afrique, je voudrais tĂ©moigner de mon profond respect, de ma sincĂšre admiration et de mon amitiĂ© toute suis fier d’y avoir portĂ© l’uniforme de l’ArmĂ©e de l’Air Ă  vos cotĂ©s. Philippe OUVRARD Pilote de l’EC 02/11
Despatrouilles de police tournaient en effet autour du Mirail et elles ont vu arriver la BMW, immédiatement prise en chasse. La course-poursuite a
PubliĂ© le 20/09/2004 Ă  1108 Quatre individus ont agi trĂšs rapidement samedi Ă  l'heure de fermeture de deux magasins de vĂȘtements. Cette Ă©quipe circulait Ă  bord d'une puissante BMW dĂ©robĂ©e lors d'un car-jacking la semaine derniĂšre. À Colomiers, ils ont pĂ©nĂ©trĂ© dans un magasin de prĂȘt-Ă -porter et ont fait main basse sur de nombreux jeans et polos de marque Levis, Blanco. Alors que des Ă©quipages de police fonçaient sur le secteur, la bande repassait Ă  l'attaque Ă  Cugnaux, dans un grand magasin. Les visages toujours dissimulĂ©s par des foulards, ces voleurs se sont prĂ©cipitĂ©s sur les jeans avant de repartir les bras trĂšs chargĂ©s. Le personnel n'a mĂȘme pas eu le temps de rĂ©agir. En revanche, une surprise attendait cette bande. Des patrouilles de police tournaient en effet autour du Mirail et elles ont vu arriver la BMW, immĂ©diatement prise en chasse. La course-poursuite a Ă©tĂ© courte puisque les voleurs ont prĂ©fĂ©rĂ© abandonner voiture et butin cheminement Edgard-VarĂšse, dans le quartier de La Reynerie. Des policiers les ont mĂȘme poursuivis dans les coursives des immeubles mais sans rĂ©ussir Ă  les interpeller. Cest donc Ă  la tombĂ©e de la nuit qu’il chasse pour se nourrir. Il suspend son vol pour attraper insectes et papillons mais aussi pour boire. chant de l’engoulevent : A partir du mois de mai, les engoulevents d’Europe reviendront dans les landes de la forĂȘt de Rochefort. Durant cette pĂ©riode, l’espĂšce est particuliĂšrement menacĂ©e car la ponte se fait Ă  mĂȘme le sol, – créé le Ă  07h03 – mis Ă  jour le Ă  14h17 - La rĂ©daction Archives - Antenne RĂ©union Un Saint-AndrĂ©en a narguĂ© les policiers qui l’ont pris en chasse et lui arrĂȘtĂ© sur la 4 voies de Sainte-Marie s’est dĂ©battu et a mĂȘme blessĂ© deux agents. Lundi, en milieu d’aprĂšs-midi, un Saint-AndrĂ©, dĂ©cide de provoquer les policiers. En voiture, il fait le tour du commissariat, en klaxonnant et en faisant des doigts d’honneur aux forces de l’ordre. Voyant l’homme vraisemblablement ivres, les policiers dĂ©cident de l’arrĂȘter. Une course-poursuite dĂ©marre dans le centre-ville de Saint-AndrĂ© et continue sur la 4 voies. Pris en chasse, l’automobiliste accĂ©lĂšre et jette mĂȘme des piĂšces de monnaie sur les vĂ©hicules des policiers. Au niveau de Duparc, les forces de l’ordre arrivent Ă  lui couper la route. Lors de l’interpellation, l’homme ne se laisse pas faire. Il blesse d’ailleurs deux policiers en se dĂ©battant. Plus tĂŽt dans l’aprĂšs-midi, l’homme devait se prĂ©senter au poste de police, pour s’expliquer aprĂšs avoir Ă©tĂ© contrĂŽlĂ© au volant avec plus de 2 gramme d’alcool la veille. Il a Ă©tĂ© placĂ© en cellule de dĂ©grisement et devra rĂ©pondre d’un nouvel acte commis sous l’emprise de l’alcool. AprĂšsla sĂ©cheresse qui a sĂ©vi en France, le centre Athenas propose d'interdire la chasse pour « mĂ©nager une pause » Ă  la faune sauvage, rapporte BFMTV. SommairePrĂ©face Par le Dr. Claude Bachelard Introduction Par Jean-Claude Bousquet AU PORT Chapitre I Le dĂ©part. Montauk. DĂ©barquement du pilote. Tristes pensĂ©es. Premiers jours de vie en mer. Le bateau. Le capitaine, le charpentier, le tonnelier et l’équipage. Les vĂȘtements de mer. Le pied marin. Mal de mer. Bile et amertume. RemĂšdes. Le constructeur de navires. Le petit dĂ©jeuner ne passe pas. Orage et tonnerre dans le golfe. Le jour de la lessive. Le Sabbat. Chapitre II LĂ -bas ! Elle souffle ». Tom Coffin. GlobicĂ©phale. Course de baleiniĂšres. Capture d’un cachalot. Les baleiniers. Le second capitaine. Sa vieille compagne. Le premier lieutenant. La punition. Dick en difficultĂ©. La douche. TĂȘte de mĂąt. L’histoire de Dick. La Vie en mer. Le matelot Ă  terre. Le matelot en mer. Un courageux loup de mer. Le harponnage des marsouins. Lever de soleil sur l’ocĂ©an. Le nettoyage des ponts. Oh ! HĂ© ! Une voile ! Chapitre III OhĂ© ! Terre ! Les Îles de l’Ouest. Pico. Climat. Fayal. Les marins portugais. Tout le monde somnole. Alfred le benjamin. Un jeune marin malade dupĂ©. Son histoire. Agent maritime. Des ampoules avec un bout de corde. Vol et emprisonnement. Vivres frais. Jonas. Un gam. Le Clement. Capitaine Lane. RĂ©union de vieux amis. Les aveux de Tom. Les Îles du Cap Vert. Un phĂ©nomĂšne terrifiant. L’Emerald. Pic de Fogo. Le tonnelier et son FrĂšre. Vin de contrebande. Joe Kane. La bagarre. La punition. Qui est Ă  blĂąmer ? Une courte histoire de marin. Chapitre IV Grosse chaleur. Poissons volants. Le cuisinier et l’intendant. Petit quart. La vie Ă  l’avant du mĂąt. La houle. Le calme. Brise du soir. Curieuse luminositĂ©. Merveilles des Tropiques. Un orchestre Ă  bord. Passage de l’Équateur. Les anciennes traditions. Tristan da Cunha. Le Gouverneur Glass. Sa femme noire. Ses dix enfants. Ses gendres. Femmes aux champs. CratĂšre volcanique. Paysages et productions de l’üle. Un phĂ©nomĂšne dangereux. Une fleur de choix. La Reine Victoria. La pĂȘche Ă  la baleine. Chapitre V Quart du matin. OhĂ© ! Terre ! Afrique. Montagne de La Table. Baie de la Table. Une semaine au port. GoĂ©lette Yankee. Bonnes nouvelles de chez moi. Le ChĂąteau. La Nappe du Diable. Les vents. Cape Town. Rues. Maisons. Esplanade. Climat. Vins. BĂątiments publics. HĂŽtels. Hindous. Hottentots. On lĂšve l’ancre. Des cafards. Les superstitions du cuisinier. Les Canons dĂ©truits. TempĂȘte dans l’ocĂ©an Indien. Chapitre VI Ile de la DĂ©solation. Pot Harbor. Le Peruvian. Mademoiselle Mary. David Endormi. Mont Carmel. Aurore australe. Promenade Ă  terre. Le prĂ©cipice. Une idĂ©e de marin sur la crĂ©ation. Dimanche. ArrivĂ©e de nos annexes. Climat. Les vaches. Le mouton. La vie Ă  l’ancre. CroisiĂšre au large. Baleines en vue. La chasse. La capture. Les diffĂ©rentes espĂšces de baleines. Le harponneur. Une promenade en traĂźneau. La mort. Chapitre VII DĂ©coupage d’une baleine. Travail des officiers. Le singe par-dessus bord. La tĂȘte de la baleine. Les fanons. Tranchage de la graisse et extraction de l’huile. L’enveloppe graisseuse. Le hacheur. Extraits de mon journal personnel. TrĂšs mauvais temps. TempĂȘte. Le Corinthian. Nous capturons une autre baleine. Vent violent. La prise perdue. Six heures Ă  la barre. Mauvais temps. On parle avec le Peruvian. Brouillards. Pluie. La baleine et son petit. Retour Ă  Pot Harbor. Chapitre VIII Kerguelen. Le Prince Alfred. Outrage du gouvernement anglais. Histoire de l’üle. Pour guĂ©rir du scorbut. Enterrer des hommes vivants. Gus et la meule Ă  aiguiser. Somnambulisme. Le mĂ©decin devenu cuisinier. Visite au Corinthian. Les devoirs du port. Un fandango. Le Peruvian et l’Exile rentrent au pays. RivalitĂ©. La Diana. Tom Long, Un dynamique Yankee. Chapitre IX Voyage d’agrĂ©ment sur le cotre Diana. Un homme Ă  la mer. Bonne chance. Malchance. L’échappĂ©e belle. Sir J. Pringle. Le chou. L’amarrage du bateau. Le travail de l’auteur. Bob. Jim. Chapitre X Le Grand Albatros. Sa puissance de vol. Son aspect. Dormir en volant. Sa nourriture, Ses habitudes, ses Ɠufs. Le dĂźner de minuit. Excuses Ă  mes lectrices. La femme du capitaine. La Maison sur le pont. Bavardage. Le capitaine Williams. Madame Williams. Le contraste. Le petit JosĂ© notre vacher. Le youyou. La chienne Fanny. La maison du tonnelier sur la plage. Le repas du tonnelier. L’humeur du tonnelier. Chapitre XI PĂȘche Ă  la baleine dans les baies. Navigation dans les algues. SinguliĂšre production marine. Cachalots. Baleines Franches. Fanons de baleine. Poids de la baleine. Nourriture de la baleine. MĂ©duses. Gestation. La jeune baleine. La Baleine Ă  Bosse. PĂ©nurie de baleiniers Ă  la DĂ©solation. PĂȘche Ă  la baleine avec la Diana. Baie de la Rafale de Neige. Passionnante capture. Perte de la baleine. Histoire de mer du Vieux Steve. Chapitre XII TempĂȘte de neige. Autre capture. La baleiniĂšre emportĂ©e par une baleine. EchappĂ©e belle du second capitaine. Passionnante chasse. Dix baleiniĂšres en action. Le sacrifice de Bill. Nos rivaux. Un plat de viande de baleine. Le Sabbat. Sa pratique. Chapitre XIII Équipage et insuffisance de vivres. La faute, consĂ©quences et moyens de prĂ©vention. Lois des États-Unis sur ce sujet. Le remĂšde du matelot. RĂ©paration par la loi. Vie des oiseaux. Manque d’aliments. Injustice envers la classe sociale des marins. ExpĂ©rience de l’auteur. ÉvĂ©nements agrĂ©ables. Recherche des Ɠufs sur les falaises et Ă  la Baie de la Cascade. La vigie. Capture d’oiseaux. Fabrique de couchage. Madame Morgan. ImitĂ© de soupe Ă  la tortue. EspĂšces d’oiseaux et de poissons. Chapitre XIV Le navire Corinthian. La jambe cassĂ©e. Un homme blessĂ© par un canon lance harpon. TempĂȘte de neige. Des livres. Un foyer dans le poste d’équipage. Le J. E. Smith poussĂ© en mer par la tempĂȘte. Les goĂ©lettes chassent sur leurs ancres. Le Petit JosĂ© emportĂ© en pleine mer. Violente tempĂȘte. La chaĂźne d’ancre cassĂ©e. La Diana chasse sur son ancre. On voit le fantĂŽme de JosĂ© sur le rivage. Chapitre XV Fin de la saison de chasse Ă  la baleine. Un personnage excentrique. Un homme Ă  la mer. Un village flottant. Les Portes de l’Enfer. La vie Ă  terre. Les sauteurs de rochers. DĂ©part pour la chasse Ă  l’élĂ©phant de mer. SirĂšnes. Description de l’ÉlĂ©phant de Mer. Sa trompe et son huile. Les jeunes. Leur façon de dormir. Terribles combats. MĂ©thode d’attaque. Chapitre XVI Voyage pour voir les Ă©lĂ©phants. La cabine de la goĂ©lette Marcia. Un endroit Ă©troit. Mots de marins. Contraste entre le capitaine Church et le second. JosĂ© Gracia, le cuisinier. Attente au port. Le DĂ©troit de Tucker. Dans les Ăźles. VariĂ©tĂ© et majestĂ© des paysages de montagnes. La Miche de Pain. La RiviĂšre de Londres. Cascades et torrents de montagne. Chapitre XVII Chasse Ă  l’élĂ©phant. Leur mĂ©thode de dĂ©fense. Blessure Ă  un harponneur. Le quart de rade. La tentation de Jack. Une singuliĂšre punition. La goĂ©lette sur un rocher. Port Trois Îles. Retour au bateau. Fabrication d’une nouvelle quille. Coup de chance. Un marin superstitieux. Le second voyage. La Porte du Diable. Le Diamant du Diable. La TĂȘte de Lion. Port Christmas. Le LĂ©opard de Mer. Chapitre XVIII Un dĂ©cĂšs et un enterrement. Une arrivĂ©e de New London. L’Exile. Des livres, des journaux et des sucreries. Entreprises risquĂ©es avec la chaloupe. Les manchots, leurs comportements et leurs caractĂšres. Le tonnelier pour une fois de bonne humeur. Des Ɠufs d’oiseaux. Visite Ă  Bill. Un homme de couleur. Une vie de CrusoĂ«. La veille de NoĂ«l. Une naissance. Le retour du Peruvian. Trois hommes Ă  la mer sur le J. E. Smith. Au large, Ă  la chasse Ă  la baleine. Chapitre XIX En route vers le pays natal. Mauvais temps. Une sĂ©vĂšre tempĂȘte. La cĂŽte sous le vent. La Baie de la Table. AgrĂ©able Sabbat au Cap. Rencontre avec une vieille connaissance. Un soir Ă  terre. Tous les marins malades. Les vents AlizĂ©s. Nuages AlizĂ©s. Sainte-HĂ©lĂšne. Manque d’eau. Les Bermudes. Le brick Bloomer. De nouveau chez soi. ANNEXES Annexe I Les navires et leurs Ă©quipages Par Jean-Claude Bousquet Annexe II L’Archipel de Kerguelen et autres Ăźles subantarctiques Par Jean-Claude Bousquet Annexe III Toponymie. Les noms de lieux au temps de Taylor et ceux d’aujourd’hui par Jean-Claude Bousquet RĂ©fĂ©rences bibliographiques
Ellerentre dĂ©sormais dans le petit club des pays capables de crĂ©er leurs propres avions de chasse (États-Unis, Russie, France, Chine, Japon, SuĂšde et le consortium europĂ©en Eurofighter). Selon l’agence de presse Yonhap , le prototype du KF-21, a dĂ©collĂ© d'un aĂ©rodrome militaire Ă  Sacheon, dans la province de Gyeongsangnam-do, et a volĂ© pendant 33 minutes
La MACIF propose un contrat d’assurance chasse pour protĂ©ger les chasseurs et leurs chiens. DĂ©tails et explications sur cette offre. A propos de la MACIF MACIF signifie Mutuelle d'assurance des commerçants et industriels de France et des cadres et des salariĂ©s de l'industrie et du commerce. Cette sociĂ©tĂ© d’assurance mutuelle a Ă©tĂ© créé en 1960. Sa particularitĂ© repose sur son systĂšme de gouvernance mutualiste oĂč les millions de sociĂ©taires que compte la MACIF sont invitĂ©s Ă  voter tous les 3 ans pour Ă©lire leurs dĂ©lĂ©guĂ©s rĂ©gionaux, sa non-obligation de gĂ©nĂ©rer des profits. La MACIF est aujourd’hui un acteur de l’assurance de biens pour les particuliers et les professionnels, de la santĂ© et de la prĂ©voyance, de la finance et de l’épargne. Les garanties de l’assurance chien MACIF Les garanties de base du contrat d'assurances pour chiens de la MACIF comprennent La responsabilitĂ© civile Cela signifie que le contrat mutuelle chien de la MACIF couvre les frais occasionnĂ©s Ă  des tiers en cas d’accident ou d’incident survenu lors d’une partie de chasse, du trajet domicile/ lieu de chasse ou lors d’activitĂ©s liĂ©es Ă  la chasse comme des sĂ©ances de ball-trap autorisĂ©es par les AutoritĂ©s Administratives. Le remboursement des frais dĂ©pend bien Ă©videmment des conditions et des limites fixĂ©es dans le contrat souscrit par le sociĂ©taire. Cette garantie est obligatoire en France pour le chasseurs. La garantie dĂ©fense recours Cette garantie permet la prise en charge des frais judiciaires de dĂ©fense engagĂ©s par le sociĂ©taire en cas de poursuites ou de rĂ©clamations susceptibles de mettre en jeu la garantie ResponsabilitĂ© civile du contrat chasse. Elle permet Ă©galement Ă  la MACIF d’intervenir directement, Ă  la place de l'assurĂ©, contre l’autre partie et permet l’économie de bien des dĂ©marches administratives. En option, il est possible de souscrire dans le contrat chasse de la MACIF les garanties suivantes Assistance Ă  l’assurĂ© Cette garantie permet Ă  l’assurer de bĂ©nĂ©ficier d’une assistance en cas de blessures, de maladie ou de dĂ©cĂšs rĂ©sultant d’un acte de chasse. Elle fonctionne en France et dans les pays de l'Union EuropĂ©enne, au-delĂ  de 50 kilomĂštres du domicile du sociĂ©taire. Garantie corporelle du chasseur Cette garantie permet au chasseur de recevoir une indemnisation en cas de dommages corporels survenus au cours et en dehors d’un acte de chasse par exemple lors du nettoyage de l’arme. Dommages accidentels causĂ©s aux chiens de chasse En souscrivant cette garantie, l’assurĂ© peut ĂȘtre indemnisĂ© si ces chiens se blessent ou se font tuer au cours d’une partie de chasse ou lors des dĂ©placements permettant de se rendre sur le lieu de chasse. Cette garantie diffĂšre d’une assurance santĂ© pour chien Ă  laquelle il sera nĂ©cessaire de souscrire en plus si vous souhaitez obtenir le remboursement des frais de santĂ© des chiens de chasse. Dommages aux fusils de chasse Les dommages aux fusils de chasse est une garantie qui permet le remboursement total ou partiel de l’arme en cas de vol, dĂ©tĂ©rioration ou de destruction de cette derniĂšre. Cette garantie fonctionne lorsque le fusil est utilisĂ© lors des parties de chasse ou de ball-trap autorisĂ©es et lors des trajets aller et retour. Les tarifs du contrat assurance chasse de la MACIF Le contrat de base comprenant uniquement la responsabilitĂ© civile et la garantie dĂ©fense – recours est proposĂ© au tarif de 20€ par an. A ces 20 € annuels, il est possible d’ajouter La garantie corporelle chasseur pour 6 € annuels supplĂ©mentaires. L’assistance Ă  l’assurĂ© pour 4 € annuels supplĂ©mentaires. La garantie dommages aux fusils pour 36 € par an et par fusil en plus. La garantie dommages au chiens dans la limite de 3 chiens et pour 28 € en plus par chien sans pedigree et par an, 60€ en plus par chien avec pedigree et par an ou 70 € en plus par chien Ă  gros gibier et par an. kkXMy.
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