Commentprotéger une table extérieure en bois? Il est important de protéger le bois des intempéries avec un produit adapté (huile, vernis à bois, lasure, saturateur, etc.) afin de le prémunir contre les dégradations possibles. L’huile ou la
Votre navigateur n'accepte pas les cookies. Pour une optimisation des fonctionnalités et pour l'affichage correct des contenus, il faut que vous alliez dans la configuration de votre navigateur pour autoriser l'utilisation de cookies, et il vous faudra ensuite rafraîchir la page. Page d'accueil PROJETS Traiter le bois et le métal Protection du bois Lasure pour bois, peinture pour bois ou huile pour bois? Une chose est sûre la gamme de produits dans le domaine des protections pour bois et peintures pour bois est vaste. Il n'est donc pas facile pour un amateur de trouver le bon produit. Nous te expliquons ici les propriétés de base des différents types de produits. Les lasures pour bois sont faiblement pigmentées, transparentes et laissent transparaître la beauté de la veinure et le jeu de couleurs dans le bois. Elles existent dans des tons bois classiques mais vous pouvez également faire teinter la lasure dans le coloris de votre choix. Plus la couleur est foncée, plus la protection UV est grande. Lasure bois Filmogène ou non filmogène? Les lasures filmogènes sont fortement hydrofuges et donc impérativement recommandées pour les éléments à dimensions déterminées comme les fenêtres et portes. Les lasures non filmogènes pénètrent profondément dans le support et ne s'écaillent pas par plaques mais par couches. Les peintures pour bois sont fortement pigmentées, couvrantes et cachent la structure naturelle du bois; cependant, elles offrent une protection UV plus grande et plus durable. Peinture bois Les huiles pour bois conviennent généralement pour les bois durs. Elles protègent et entretiennent le bois, le rendent solide et très résistant. Elles accentuent le caractère naturel du bois tout en conservant la structure de la surface typique du bois. L'huile incolore ne doit pas être utilisée en extérieur car elle n'offre pas une protection suffisante contre les UV. Les huiles pour bois existent en différentes teintes selon le bois, par exemple pour le teck ou le mélèze. L'huile incolore ne doit pas être utilisée pour des applications extérieures car elle n'offre pas une protection suffisante contre les UV. Les huiles de bois sont disponibles teintées pour le bois concerné, par exemple le teck ou le mélèze. Les cires donnent aux sols ou aux meubles une surface soyeuse et brillante et protègent le bois de la saleté, de l'eau et des autres usures quotidiennes. Huile pour bois & cire pour bois Et les peintures?Pour protéger le bois en extérieur, nous recommandons les lasures pour les bois tendres et les huiles pour les bois durs. Certes, les peintures forment une peau extérieure stable sur le bois qui le rend résistant aux intempéries mais cette couche de peinture reste fragile. Si par la suite l'eau pénètre par une zone abîmée, par exemple une rayure, le bois gonfle et fait éclater la peinture. A l'inverse, les lasures et les huiles forment une couche de protection sur le bois mais restent ouvertes à la diffusion. C'est pourquoi nous conseillons plutôt les peintures pour une utilisation en intérieur. Protection du bois en extérieur Le bois supporte beaucoup. Mais c'est surtout l'humidité qui endommage le bois à bien des égards. Une fois absorbée, celle-ci ne travaille» pas uniquement en cas d'exposition directe aux rayons du soleil ou au gel, mais également à chaque gros changement de température. Le bois se fissure et l'humidité y pénètre encore plus aisément. Les facteurs climatiques tels que la chaleur, le froid ou le gel accentuent la décomposition du bois provoquée par l'eau, qui offre alors un terrain idéal à tous les organismes nuisibles. Les rayons UV peuvent également causer des problèmes pour le bois. Si le bois n'est pas traité, ils rendent la lignine soluble, qui confère au bois sa rigidité. Résultat le bois se décompose en produits de fission de couleur brunâtre qui sont éliminés par l'eau de pluie. Seule la cellulose claire y est encore présente. Le bois devient grisâtre et friable. Dans un bois à tel point endommagé, les algues, mousses, champignons de bleuissement, insectes et autres organismes nuisibles et lignivores se développent très rapidement et provoquent la décomposition rapide et définitive du bois. Prévenir les algues, la moisissure, etc. Une imprégnation de protection du bois incolore empêche l'apparition de champignons, en particulier sur les bois tendres. Si on n'imprègne pas le bois, il peut prendre une coloration noire-bleutée sous la lasure transparent, et l'on constate l'apparition de ce que l'on appelle le bleuissement. Il n'altère certes le bois que dans son aspect optique mais il favorise le développement de champignons xylophages putréfaction. Une sous-couche assure l'adhérence avec la lasure pour bois qui sera appliquée par la suite. Il permet d'éviter que la lasure s'écaille sur de larges surfaces au fil du temps et t'épargne le travaille de ponçage de l'ancienne couche. Sous-couche bois Lasures pour l'extérieur Huile pour bois pour l'extérieur Traitement du bois pour l'extérieur Protection du bois en intérieur À l'intérieur, le bois est sollicité différemment qu'à l'extérieur. Bien qu'il n'y ait pas de facteurs environnementaux externes qui attaquent le bois, l'humidité de l'air, la saleté, les liquides et bien d'autres aspects peuvent également exercer une forte pression sur lui. C'est pourquoi tu devrais traiter tes bois d'intérieur avec des produits conçus spécialement pour cette utilisation. Avec les lasures et huiles appropriées, tu mets en valeur tes meubles, surfaces de travail et sols et les protège des sollicitations quotidiennes. Finition du bois à l'intérieur Traitement du bois pour l'intérieur Tu n'as pas trouvé la bonne couleur? Pas de problème. Dans l'Espace couleurs, tu peux mélanger les peintures pour bois et les laques dans le coloris de ton choix. Faire mélanger les protections du bois & peintures pour bois Les sujets qui peuvent également t'intéresser

Lespeintures de protections pour le bois extérieur vont appliquer une couche opaque, et selon leur technicité, laisser respirer le bois tout en empêchant l’eau de pénétrer. Il en existe de toutes les qualités, à tous les prix, écologiques ou pas

Le printemps s’installe tout doucement et avec lui, le soleil, encore timide, revient gentiment. La nature s’est réveillée et notre envie de sortir en plein air et de profiter de l’énergie de la saison est irrésistible. Depuis quelque temps, nous songeons à la préparation du jardin de printemps, à la décoration de la pergola et aux plantes à fleurs grimpantes pour redonner vie et couleurs à notre espace extérieur. À ne pas oublier non plus le mobilier de jardin en bois que nous sortirons prochainement afin de le nettoyer et préparer pour de longues journées de rire et nuits de bavardage entre amis. C’est ici où se pose le problème de la capacité de résistance des différentes essences, lorsqu’elles sont exposées à des conditions climatiques variées. Heureusement, cet article a pour objectif de vous faire connaître les règles de base concernant l’entretien de vos meubles en bois et les spécificités de différentes essences. En choisissant le mobilier de jardin en bois, vous invitez la noblesse au sein de votre espace En parlant de meubles d’extérieur, le bois a toujours été un choix incontournable. Mais pourquoi ? D’une part, le matériau naturel est polyvalent en termes de styles. Une pièce en osier, par exemple, qui est fabriquée avec un soin tout particulier, pourrait vous amener à un voyage exotique, invitant à la relaxation et à l’évasion. Une table élégante en bois sculpté est à même de transformer l’ambiance de l’arrière-cour en une scène sophistiquée où règne l’exotisme luxueux. Idem pour toute autre pièce du mobilier de jardin en bois elle saura insuffler une touche de caractère et d’éternité au sein de votre espace. Il est absolument clair que le mobilier de jardin en bois a fière allure, mais comment résiste-t-il aux rayons UV et aux intempéries ? Afin de jouir le plus longtemps possible de vos meubles d’extérieur en bois, il est primordial de savoir comment bien les protéger et entretenir. Et l’enjeu est encore plus grand avec les pièces en bois exotique. Les essences les plus appréciées ces derniers temps comprennent le teck, l’acacia, l’eucalyptus. Élégants et nobles, ces bois méritent un entretien approprié et soigné afin de vous servir de longues années. Nous vous invitons à consulter notre article informatif qui vous révélera comment bien protéger vos meubles extérieurs en bois, fer etc. Le bois de teck Étant donné qu’il est officieusement connu comme le roi des bois naturellement durables, il est parfaitement logique que le teck est une essence très appréciée et sollicitée dans différentes industries. De la construction de ponts de bateaux à la fabrication de mobilier de jardin en teck, ce bois est pratiquement polyvalent. Il peut se vanter d’une teneur élevée en huile naturelle et d’un contenu en silice, ce qui lui confère une résistance à la traction importante. De plus, le grain serré et dense du teck lui permet de résister aux intempéries sans pourrir à ne pas confondre avec la moisissure et le mildiou et même aux termites. Quel entretien ? Le teck est protégé naturellement de l’humidité, grâce à une oléorésine dont il abonde. Cette essence a une valeur sûre si vous souhaitez laisser votre mobilier de jardin dehors tout l’hiver. Cependant, face aux intempéries, le teck a tendance à prendre une teinte grise, sans pour autant perdre rien de ses propriétés. Pour éviter ce scénario, il est nécessaire d’appliquer un produit saturateur sur vos meubles. Une finition de type lasure ou vernis est déconseillée, car elle s’écaillera rapidement surtout sur les surfaces où l’eau stagne. Afin de dégriser votre mobilier et faire le bois retrouver sa couleur d’origine, il est nécessaire de faire un ponçage dans le sens des rainures, 1 à 2 fois par an, avec un papier de verre fin. L’acacia Avec plus de 1350 espèces dans le monde entier, l’acacia est l’un des bois les plus appréciés pour la fabrication de meubles et d’objets déco. Cette essence est naturellement dure et dense et elle se décline dans une variété importante de motifs de grain et de couleurs d’une grande qualité esthétique. En bref, c’est un choix de matériau simple et fiable. Qu’il s’agit de meubler votre espace intérieur ou votre terrasse, les meubles en bois d’acacia bénéficient d’une durabilité exceptionnelle et d’un charme résolument contemporain qui vous séduiront à coup sûr. Qu’en est-il de l’entretien ? Ce bois exotique a une bonne résistance à l’humidité. Le mobilier qui en est fabriqué ne nécessite que très peu d’entretien. Il est recommandé de protéger les surfaces qui sont réellement exposées aux taches comme par exemple les plateaux. Misez sur une cire incolore à appliquer au chiffon doux. Celle-ci permettra de préserver l’aspect naturel du bois. En ce qui concerne l’entretien quotidien, il vous faut tout simplement un chiffon sec – l’ajout de tout produit spécifique est inutile. Si des taches apparaissent, poncez légèrement le bois. L’eucalyptus Bien que cette essence soit moins dense que le teck, l’eucalyptus est un bois de qualité qui en est une très bonne alternative. Le mobilier de jardin en bois d’eucalyptus est solide et facile d’entretien. C’est sa couleur claire aux reflets rosés qui en fait un choix très prisé et recherché. L’eucalyptus contient, lui aussi, des huiles naturelles qui repoussent les insectes et l’eau, à condition qu’il soit correctement scellé. Si vous recherchez la solution la plus économique et une résistance irréprochable, c’est exactement cette essence qu’il faut choisir. Comment l’entretenir ? Avec sa structure huileuse typique pour les bois exotiques, l’eucalyptus ne craint pas l’eau. Mais il est important de le traiter correctement pour qu’il ne devienne pas gris avec le temps et sous l’effet des rayons UV. Afin de protéger sa terrasse ou son mobilier de jardin en bois d’eucalyptus des rayons du soleil, il est nécessaire d’appliquer un produit saturateur ou une huile. Ceux-ci aident à nourrir le bois en profondeur tout en le protégeant contre les agressions du soleil et en le laissant respirer. Ces produits doivent s’appliquer régulièrement, surtout les premières années. L’épicéa C’est le bois le plus populaire parmi les résineux. Il s’agit d’une essence brute et sèche qui est très résistante aux agressions climatiques. Elle bénéficie d’une protection naturelle contre le soleil et les intempéries. L’épicéa nécessite un traitement préventif contre les insectes. Dans l’idéal, il faut appliquer un produit à effet insecticide, anti-termite et fongicide, destiné aux bois extérieurs. Prenez en considération qu’une pose de lasure ou de peinture, tous les deux ans, est très recommandée. Le pin sylvestre Étant un bois européen, d’un bon rapport qualité-prix, le pin est une bonne alternative aux essences exotiques, qui permet de fabriquer des meubles de jardin et de terrasse de qualité. Afin de résister bien à l’humidité, aux intempéries et aux insectes, il nécessite un traitement adapté. Cela permet aussi d’augmenter sa résistance et sa durabilité. Malheureusement, ce bois a aussi tendance à prendre une teinte grise avec le temps. Pour pallier au problème, envisagez l’application d’un produit dégriseur adapté. Le cèdre blanc Le cèdre blanc est une essence de bois dont le grand atout est indéniablement sa couleur sable qui évolue en un gris clair argenté. Ce bois est robuste et très durable – un excellent exemple d’investissement sur le long terme. Écologique et non traité, le cèdre blanc est naturellement imputrescible. Celui-ci résiste donc aux moisissures et aux insectes. Cette essence résiste à toutes sortes d’intempéries. Vous pouvez laisser vos meubles de jardin dehors sans aucun problème, même en cas de fortes pluies et de neige. Aucun entretien particulier n’est donc nécessaire. Si vous laissez le bois à l’état naturel en extérieur, il prendra, au fil du temps, une patine gris clair. Si cette idée ne vous tente pas, il suffit d’appliquer sur vos meubles un vernis incolore ou une lasure. L’iroko L’iroko fait partie des essences exotiques imputrescibles qui ont tendance à perdre leur couleur chaude avec le temps en prenant une teinte grisâtre. Certes, cet effet vieilli jouit d’une énorme popularité ces derniers temps, surtout dans l’aménagement extérieur contemporain. Si, par contre, vous préférez la teinte miel d’origine du bois d’iroko, il est nécessaire de prendre les mesures nécessaires pour bien entretenir votre mobilier extérieur. Afin de protéger et nourrir l’essence exotique, il est nécessaire d’appliquer 1 à 2 fois par an de l’huile de lin ou de teck sur vos meubles. Avec l’arrivée du printemps, il est recommandé aussi d’effectuer un nettoyage avec le jet d’eau ou avec une brosse et de l’eau savonneuse. Le bois d’ipé Cette essence au grain très dense et au veinage quasiment invisible a de nombreuses qualités exceptionnelles. Ce bois de classe 4 peut être utilisé en extérieur et exposé à une humidité supérieure à 20%. On en fabrique des meubles de jardin, des escaliers et des constructions extérieurs, des bardages etc. L’ipé est naturellement imputrescible et il ne craint pas les champignons et les termites. Face aux agressions extérieures, il prend une teinte grisâtre. L’entretien de cette essence est très aisé. Il suffit d’effectuer un simple nettoyage à l’eau une fois dans l’année. Si vous souhaitez préserver la teinte naturelle du bois, il sera nécessaire d’utiliser un saturateur une à deux fois par an. Afin de le faire retrouver sa couleur d’origine, il est possible d’utiliser un dégriseur.
Commentprotéger un salon de jardin en pierre reconstituée, La Pierre d'Antan. Watch on. Une fois la première couche passée, il faut attendre environ 1 h pour le séchage. Avant de passer la seconde couche, passer de nouveau la paille de fer pour supprimer les aspérités et les microbulles issues du séchage de la première couche.
Publié le 01/08/2015 - Modifié le 25/11/2019 Pouvez-vous me conseiller sur le produit à utiliser pour protéger le dessus de ma table en bois de salle à manger afin de l'utiliser sans nappe! finition satinée Tout dépend de la finition actuelle. S'il s'agit d'une table cirée, il faut décaper le bois entièrement et éventuellement le poncer, pour appliquer ensuite un vernis d'ameublement, voire un vernis vitrificateur satiné. Si le plateau est déjà verni, la résistance peut être améliorée par l'application complémentaire d'une ou deux couches de vernis vitrificateur. Autre alternative il existe des "nappes" translucides et d'aspect satiné, qui assurent une protection totale, tout en laissant visible le bois. Texte Christian Pessey
Commentprotéger une table en bois extérieur? Vous avez la possibilité d’utiliser des toiles imperméables ou des housses de protection. Pour votre table en bois dehors, il est préconisé d’utiliser une couverture grand format capable de protéger l’ensemble du meuble contre les chocs, les marques, l’humidité et même les saletés.

Comment protéger efficacement le bois de palette Comme vous l’imaginez bien, le bois utilisé pour construire les palettes dites perdues est bien souvent de piètre qualité. Ces planches de sapin ne sont pas du premier choix, il y a beaucoup de nœuds, et ce bois travaille énormément s’il est exposé à l’humidité et à la chaleur. N’espérer donc pas réaliser des meubles via de grands panneaux bien lisses avec ce genre de planche il faudra au contraire faire preuve d’ingéniosité pour laisser le bois travailler sans mettre à mal la solidité de votre réalisation. Les astuces. Si vous devez réaliser une grande surface avec des lames de palettes, une paroi ou un mur par exemple, vous allez avoir le choix entre deux méthodes de construction. La technique du chevauchement. Chevauchement de bardage dans le cadre de la construction de cabane Les lames de bois sont clouées horizontalement, en se chevauchant légèrement, environ 15mm. Ce chevauchement permet tout d’abords de cacher les clous, mais permet également au bois de se dilater sans poser de problème. C’est une technique largement utilisée depuis des lustres pour la construction de chalet de montagne par exemple. La technique du couvre-joint. La technique du couvre joint Cette fois-ci les lames sont clouées verticalement en laissant un espace entre chaque lame d’environ 10 mm. Cet espace sera recouvert ensuite par une latte moins large, environ 30mm. Cette technique permet encore une fois de laisser le bois se dilater librement. Cette méthode est bien meilleure que celle du chevauchement, car l’eau va ruisseler beaucoup plus facilement ici, elle suivra le sens du bois et par conséquent le bois sera sec beaucoup plus vite. Les traitements chimiques Les traitements chimiques permettant la protection de vos bois d’extérieur sont nombreux. Certains sont plus nocifs que d’autres, mais pour l’essentiel leurs qualités sont souvent liées à leur prix, et le seul choix qu’il vous reste est de l’ordre de la couleur souhaité. Les lasures de protection nommées protection climat extrême dessinée entre autres aux chalets de montagne sont particulièrement efficaces. Cette lasure protège parfaitement le bois même si vous habitez dans une région particulièrement humide et froide. Les traitements plus naturels. Les traitements naturels pour les bois d’extérieur ne sont vraiment pas nombreux à ma connaissance. Nos anciens utilisés le marre de café, mais cette technique est plutôt destiné à un usage intérieur du bois. Pour l’extérieur un seul traitement à mes yeux est réellement efficace. Ce traitement est l’huile de lin, elle est très bon marché et son efficacité et sa non-toxicité font d’elle le traitement naturel par excellence. L’application de l’huile de lin doit être effectué en plusieurs couches, en général trois couches voir plus, dans tous les cas vous devez applique l’huile de lin jusqu’à saturation complète du bois. Ce traitement est à réaliser au moins une fois par an. Laisser le bois brut. Laisser le bois brut peut-être intéressant même si sa durée de vie est moindre. Le bois va se grisé avec les rayons ultraviolets de la lumière, ce côté vieilli et grisé est particulièrement esthétique pour la construction d’une cabane pour enfant ou encore pour la fabrication d’un salon de jardin en palettes. Avec quelques coussins bien, assortis le résultat final peut-être réellement réussi.

Lemobilier en bois. Le bois est le matériau qui nécessite le plus de soin. Il est important de protéger le bois des intempéries avec un produit adapté (huile, vernis à bois, lasure, saturateur, etc.) afin de le prémunir contre les dégradations possibles. L’huile ou la lasure sont à appliquer deux fois par an, environ.
Le bois un matériau perméable Constitué de fibres végétales ayant une très forte affinité pour l’eau, le bois est par définition un matériau perméable sensible aux projections de liquides. Le bois est également sensible à l’humidité de l’air on dit que le bois est un matériau hygroscopique, c’est-à-dire qu’il absorbe et restitue l’eau, sous forme gazeuse, pour être en équilibre permanent avec son milieu ambiant. Ces variations d’humidité sont à l’origine des variations dimensionnelles du bois, qui ont elles même pour effet de provoquer des déformations. Le bois travaille » il gonfle lorsque l’air est humide et se rétracte quand il fait sec. Eau, humidité et tout autre liquide au contact du bois, peuvent aussi être à l’origine de l’apparition de taches, coulures et auréoles disgracieuses.  Aperçu rapide  Aperçu rapide  Aperçu rapide  Aperçu rapide Imperméabiliser doit permettre les échanges Imperméabiliser un bois pour le protéger consiste donc à lui appliquer un produit hydrofuge de façon à éviter que l’eau ou tout autre fluide puisse le pénétrer, s’imprégner. Un tel produit sera adapté au bois s’il permet les échanges d’humidité entre le bois et son milieu ambiant on parlera alors de finition microporeuse. Il ne s’agit pas de confondre l’imperméabilité et l’étanchéité qui elle doit être proscrite dans le cas du bois. En effet, rendre un bois étanche, c’est-à-dire supprimer aussi les échanges gazeux, risquerait de provoquer le pourrissement du bois. Un produit hydrofuge pour bois doit impérativement laisser respirer le support. Quels hydrofuges choisir… et ceux à éviter ? Il existe différents produits capables de protéger le bois mais on peut considérer que les produits fonctionnant par imprégnation comme les huiles ou saturateurs apporteront, du moins dans le temps, une protection plus performante que les produits déposant un film simplement en surface, comme les vernis ou les vitrificateurs. En effet, si les produits filmogènes peuvent être efficaces au début, dès lors qu’ils commencent à craqueler ou s’écailler, l’eau peut s’infiltrer dans le bois. Il sera alors indispensable de poncer ou décaper le bois à nu de façon à le protéger de nouveau. Le silicone et tous ses dérivés sont largement employés dans les hydrofugeants pour bois. Au même titre que les solvants pétroliers encore présents dans de nombreux produits, ces molécules doivent être bannies. Elles ne sont pas sans danger, ni pour l’utilisateur, ni pour l’environnement. Puisque des solutions propres sont aujourd’hui proposées, on se tournera de préférence vers des produits biosourcés, c’est-à-dire d’origine végétale en totale cohérence avec le choix du bois, matériau naturel par excellence. Un entretien nécessaire pour une protection performante En intérieur, la fonction d’un hydrofugeant sera surtout de protéger le bois des taches et agressions de la vie quotidienne. En extérieur, l’hydrofugeant sera associé à des anti-UV et permettra d’éviter que le bois devienne gris au fil du temps et limitera les phénomènes de gonflement et retrait décrit au début de cet article. Certes, le caractère microporeux permettra toujours les échanges entre l’air ambiant et le bois, mais les variations dimensionnelles seront écrêtées. Quel que soit le type d’imperméabilisant choisi, il sera nécessaire d’entretenir le bois de façon régulière pour que la protection reste performante. Les travaux fastidieux de préparation ponçage ou décapage du support pourront être évités en choisissant une huile ou un saturateur qui ont la particularité de protéger le bois dans la masse sans créer de film. Notre gamme produits imperméabilisant  Aperçu rapide  Aperçu rapide  Aperçu rapide

L entretien et le traitement de votre mobilier extérieur permettront de préserver la qualité, l’esthétique et la longévité de votre bois. Ce sont des habitudes à prendre qui vous permettront de garder votre mobilier de jardin et autres boiseries extérieures durant de longues et belles années. Découvrez notre gamme de produits

Le 07/05/2013 à 01h08 Photolover Env. 7000 message luckydog a écritMerci Liz, vous m'avez tout l'air d'être une experte en la matière ! Ca tombe bien car de nouvelles questions me viennent - pour l'application de l'huile, on lit souvent qu'après la première couche, il faut éliminer le surplus avec un chiffon. Est-ce vraiment nécessaire ? - comment éviter que ca ne sèche trop vite et que ca ne forme une couche en surface au lieu de bien pénétrer dans le bois ? - concernant le fendillement que j'ai mentionné, il s'agit en fait de fendillement important, du genre 2 bons mm, plutôt dû à l'action conjuguée de la chaleur et des efforts mécaniques, les poteaux, les lisses et autres traverses étant emboitées les unes dans les autres... faut-il faire en sorte de bien garnir d'huile ces fentes ? ou bien est-ce sans trop d'intéret ? j'ai peur en fait que l'eau de pluie vienne s'y accumuler trop souvent... bonsoir - l'application de l'huile doit se faire en couche très fine, cela ne sert à rien d'étaler l'huile comme on beurre une tartine. Vous prenez un pinceau plat, vous l'égouttez bien, vous passez une couche d'huile que vous tirez bien jusqu'à ce que votre pinceau soit presque sec et vous recommencez. En procédant de cette façon, vous verrez, pas besoin d'essuyer. Quant la couche d'huile est sèche au toucher, vous en repassez une autre et ainsi de suite jusqu'à saturation, quitte à en mettre 3 ou 4, peu importe, tant que l'huile sèche et que le bois ne reste pas collant, c'est qu'il n'est pas saturé. De toute façon l'iroko est un bois dur et peu imprégnable, la couche d'huile ne pénétrera guère plus que 1 voire 2mm, mais cela sera suffisant pour le protéger et le nourrir. L'iroko est tout de même un bois exotique et il peut résister aux atteintes biologiques puisqu'il couvre la classe IV. J'ai moi-même huilé un salon de jardin en teck, çà fait 2 ans qu'il est dehors et il n'a pas bougé, même pas grisé. Je repasse juste une couche d'huile au printemps et une avant l'hiver. Pour faire le 1er huilage j'ai acheté en tout et pour tout un bidon d'un demi litre, j'ai déjà repassé 6 couches d'huiles depuis et il m'en reste encore un peu plus du quart du bidon, donc vous voyez ce n'est pas si consommateur que çà .. l'huile est chère à l'achat si on prends une huile de qualité, donc ce n'est pas la peine d'en mettre trop pour finir sur un chiffon. - Pour le séchage, ne vous inquiétez pas, çà ne séchera pas trop vite à cause des antioxydants que l'iroko contient. Pour nourrir le bois, l'essentiel est de bien huiler au départ et de repasser de l'huile avant l'hiver et au printemps et si vous voyez que votre bois n'est pas assez nourri, n'hésitez pas à passer une couche si nécessaire .. au fil du temps, une seule suffira à chaque printemps et chaque hiver. - Pour le fendillement, c'est dû à la nature même du bois, on n'y peut rien .. le bois çà vit et çà se patine avec le temps, d'autant plus en extérieur. Pas la peine de mettre plus d'huile qu'ailleurs, le bois n'absorbera pas plus que ce qu'il doit absorber, l'huile en excès restera collante, donc inutile. Votre pinceau garnira les petites fentes, il n'y a pas à s'inquiéter pour l'eau ou quoi que ce soit, l'iroko est fait pour résister. Postez une photo pour voir dans quel état il est peut être. 1
Pourla construction, il est souvent fabriqué avec du bois clair comme le peuplier, le bouleau ou le pin maritime. Comment le protéger lorsqu’il est utilisé pour un ouvrage extérieur ? Voici un exemple d’ouvrage avec des panneaux de contreplaqué : une extension accolée à une ancienne maison en pierres, située en centre ville.
Le bois d’extérieur face aux UV et à l’humidité Le bois d’extérieur a deux principaux ennemis les UV rayons ultraviolets de la lumière solaire et l’humidité. Les premiers provoquent une sorte de brûlure superficielle comme sur notre peau qui se traduit par des petites crevasses et du grisaillement. Rien de dramatique, le dommage est surtout esthétique et le bois n’est pas atteint en profondeur. Concernant l’humidité, elle pose des problèmes beaucoup plus sérieux. Si l’eau de pluie ne s’écoule pas ou ne s’évapore pas rapidement, si le bois reste au contact du sol ou si l’humidité peut remonter par capillarité, le taux d’humidité du bois va permettre l’installation de champignons lignivores. Ces derniers sont précurseurs de la pourriture. De plus, l’humidité favorise les attaques d’insectes xylophages. Peut-on alors éviter les traitements chimiques de préservation ? Des essences durables, sans aubier Quelques essences naturellement durables de nos régions peuvent être utilisées sans traitement. Notamment lorsque le bois est mis en œuvre verticalement classe de risque 3 et permet un bon écoulement de l’eau bardages, fenêtres, volets. Entre autres, le Douglas, le Mélèze, le châtaignier, le chêne et le robinier. Seules les trois dernières essences sont recommandées lorsque le bois est mis en œuvre horizontalement lames de balcons ou de terrasses, ou en contact avec le sol classe de risque 4. Ces bois doivent en outre être sélectionnés et coupés de manière à éliminer l’aubier, partie périphérique du tronc riche en sucres, qui attire les insectes xylophages. Bois rétifiés et thermohuilés Plusieurs procédés récents permet­tent d’améliorer la durabilité et la stabilité dimensionnelle d’autres essences. Ce sont les traitements thermiques à haute température 210 à 250 °C. A. Bosse-Platière Ils sont réalisés en plusieurs phases, dans des fours spéciaux. Soit sous atmosphère inerte avec de l’azote bois rétifié, soit avec des injections de vapeur d’eau bois thermo-traité finlandais. Le bois prend ainsi une belle couleur brune et devient hydrophobe qui dispose d’une protection imperméable. Il devient aussi très résistant aux attaques de champignons ou d’insectes. Cependant, la haute température fragilise ces bois, que l’on ne peut utiliser en structure. On les retrouve donc surtout en bardages, parquets, et lames de terrasses. Le procédé dit d’oléothermie ne présente pas cet inconvénient. A. Bosse-Platière Le bois n’est chauffé que jusqu’à 130 °C, avec une immersion dans un mélange à base d’huile de lin, et de dérivés oléagineux végétaux. Cette technique de “chimie verte” permet ainsi une imprégnation en profondeur. En outre, elle assure une plus longue résistance au grisaillement, et ne nécessite pas d’entretien régulier. Une réelle innovation française, développée par le Centre national de la recherche scientifique CNRS, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement CIRAD, et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie ADEME pour la filière du bois. Ce programme fut ensuite transféré en 2004 vers la société Oléobois pour entreprendre sa commercialisation. De la sorte, cette méthode fut rapidement adoptée par le groupe industriel Provvedi industrie, ou encore, par Génération bois Ardèche forêt innovation et Arbos. Le procédé Wood-Protect, breveté en 2006 par l’équipe de recherche et développement de Lapeyre et l’Institut national polytechnique de Toulouse INPT, est du même type. Il y a toujours une imprégnation par autoclave, puis par trempage à 140 °C, dans un mélange de dérivés d’huiles végétales et d’acide acétique. Huiles, lasures et peintures La durabilité de certaines essences, comme le chêne et le châtaignier, est due en partie à leur forte teneur en tanins. Mais ces derniers sont progressivement lessivés par l’eau de pluie, légèrement acide. Comme les autres essences, le chêne et le châtaignier nécessitent donc une protection de surface. L’huile de lin, additionnée d’un peu d’essence de térébenthine, à utiliser par temps chaud car elle pénètre mieux, est une protection classique. Peu coûteuse et hydrofuge, elle retarde le grisaillement. Les lasures bio, colorées mais qui laissent voir le veinage du bois, apportent une meilleure protection contre les UV. Comment ? Grâce aux pigments qu’elles contiennent. Mais elles sont à renouveler tous les 3 à 5 ans pour les façades sud, et tous les 8 à 10 ans pour les façades nord. Contrairement aux peintures, elles ne nécessitent pas de ponçage préalable au renouvellement. C’est-à-dire qu’un coup de brosse suffit pour enlever la poussière de pigments. Quant aux peintures laques bio, elles assurent une protection plus durable puisqu’elles contiennent des charges surtout de la craie, qui forment un véritable écran contre les UV. C’est un peu comme pour les crèmes solaires. Bien entendu, la protection dépend de la qualité de l’écran et de l’exposition. Antoine Bosse-Platière
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