Citationsfrançaises j'Ă©tais seul, l'autre soir, au théùtre-français, - ou presque seul; l'auteur n'avait pas grand succĂšs. - ce n'Ă©tait que moliĂšre - Page 3 : Il vaut mieux avoir affaire Ă  Dieu qu'Ă  ses saints. Simon Faches seul en scĂšne samedi soir au Petit Théùtre de Templeuve PubliĂ© 13 Avril 2014 Ă  11h50 Temps de lecture 1 min Le Petit Théùtre de Templeuve prĂ©sente samedi soir un spectaale seul en sscĂšne de Simon Faches, Pianistologie ». On peut qualifier ce spectacle de rĂ©jouissante psychanalyse oĂč le piano remplace le divan et oĂč le public est invitĂ© Ă  Ă©couter aux portes. En gymnastique, on appelle cela le grand Ă©cart. Et de la souplesse, Simon Fache n’en manque pas. Comme le prouvent le gĂ©nĂ©rique de Mac Gyver et les sonates de Chopin que le musicien virtuose dĂ©gaine avec autant de dĂ©fĂ©rence. Lorsque ce dernier se permet d’ailleurs de confondre Wolfgang Jackson avec Michael Mozart ou encore de crĂ©diter Blanche-Neige au gĂ©nĂ©rique de Neuf Semaines et demies, ça n’est pas par goĂ»t gratuit de la querelle, mais pour la simple et bonne raison qu’il peut se le permettre. Simon Fache, pour le critique Geoffrey Sebille, est le premier musicien qui, non seulement, prouve que l’habit ne fait pas le moine mais que l’on peut, surtout, allĂ©grement dĂ©conner en queue de pie. Peu importe au fond qu’il s’agisse du gĂ©nĂ©rique de Mac Gyver ou des sonates de Chopin, quand Simon Fache aime bien, Simon Fache chĂątie bien. » Samedi 19 avril Ă  20 h 30 au Petit Théùtre de Templeuve. Tarifs 9 et 5 €. RĂ©servations Au Petit TheĂątre, Templeuve

Ce n'était que MoliÚre » ( Une soirée perdue (1840) ) « J'étais seul, l'autre soir, au Théùtre-Français, - Ou presque seul; l'auteur n'avait pas grand succÚs. - Ce n'était que MoliÚre » Voici une citation pour chacun de ses thÚmes similaires : « La chance fait le succÚs, et le succÚs fait le mérite. »

DĂ©bats Avez-vous regardĂ© le prĂ©sident de la RĂ©publique, lundi soir, sur France 3 ? C'Ă©tait une Ă©dition spĂ©ciale du "19/20". Avez-vous regardĂ© le prĂ©sident de la RĂ©publique, lundi soir, sur France 3 ? C'Ă©tait une Ă©dition spĂ©ciale du "19/20". Pendant plus d'une heure car il y a eu des prolongations, Nicolas Sarkozy Ă©tait interrogĂ© sur tous les sujets par des journalistes qui se succĂ©daient. Le plus caressant envers le prĂ©sident a Ă©tĂ©, comme toujours, GĂ©rard Leclerc. La plus combative a Ă©tĂ©, comme d'habitude, Audrey Pulvar. Chacun Ă©tait dans son rĂŽle, en quelque sorte. Tout cela, vous l'avez constatĂ© si vous avez regardĂ© ce "19/20" hors normes. Pour ceux qui ont manquĂ© ce face-Ă -face, on rĂ©sume. Nicolas Sarkozy Ă©tait donc en grand exercice de communication, Ă  une heure de forte audience. Le thĂšme principal Ă©tait l'Europe, dont le prĂ©sident français assume la prĂ©sidence pour six mois Ă  compter du 1er juillet. Il avait un leitmotiv l'Europe doit protĂ©ger les gens et non pas les inquiĂ©ter. Il ne faut pas avoir peur du mot lui-mĂȘme. La protection ne doit plus ĂȘtre honteuse. Elle ne doit plus se cacher. La protection, c'est bien ! Le comique, dans l'affaire, est que seuls les ultralibĂ©raux sont persuadĂ©s du contraire et que, en France au moins, cette notion de protection fait l'objet d'un large consensus. Il Ă©tait question du prix du baril, qui pourrit la vie des pĂȘcheurs et des chauffeurs routiers. Pour les pĂȘcheurs, on assistait Ă  une premiĂšre passe d'armes, Ă  propos du thon rouge, entre Nicolas Sarkozy et Audrey Pulvar. Le prĂ©sident ironisait sur les compĂ©tences de la journaliste en matiĂšre de thon. Les anchois, qui ne peuvent ĂȘtre Ă  la fois Ă©puisĂ©s et surabondants, Ă©taient aussi de la partie. Allait-on se les jeter au visage ? La TVA sur la restauration, ensuite. L'Europe n'est pas convaincue de la nĂ©cessitĂ© de l'abaisser, quand les Français persistent Ă  vouloir manger dans un restaurant qui la paye Ă  taux fort plutĂŽt que dans un nĂ©faste food qui n'acquitte que 5,5 %. C'Ă©tait dĂ©jĂ  technique. Cela le devenait plus encore avec la fiscalitĂ© des produits pĂ©troliers. L'immigration ? Audrey Pulvar commençait trĂšs fort en accusant le prĂ©sident de vouloir faire du chiffre Ă  tout prix. Si on arrĂȘte plus de personnes sans papiers, on en expulsera davantage ! Nicolas Sarkozy lui rĂ©pliquait qu'il avait un coeur, lui aussi, mais que son rĂŽle consistait Ă  faire respecter la loi. Il ne cessait de lui dire "Madame". Elle ne cĂ©dait guĂšre. Le mot "nĂ©grier", Ă  propos des passeurs de clandestins, sonnait comme le point d'orgue de cet Ă©change. La tĂ©lĂ©vision, enfin. Paul Nahon, Monsieur Loyal de l'Ă©mission, dĂ©fendait solennellement le service public. Il peut mieux faire, martelait le prĂ©sident, sentencieux. Il faut dans les programmes plus d'Europe, plus de science, plus de dĂ©bats dĂ©mocratiques. Plus de théùtre, aussi. Pour le théùtre, avec lui, on Ă©tait servi. Dominique Dhombres Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
CetĂ©vĂ©nement inaperçu est la naissance du théùtre français : une autre rĂ©surrection, celle d’un théùtre qui ne soit pas divertissement et spectacle comme Ă  Rome, mais cĂ©rĂ©monie religieuse comme Ă  AthĂšnes. Trois femmes barbues « Trois femmes barbues qui traversent Ă  pas lents la nef de l’église Telle fut vraisemblablement la
12 fĂ©vrier 202013 fĂ©vrier 2020complet14 fĂ©vrier 2020complet15 fĂ©vrier 2020completÀ savoir Tarif SpĂ©cial Saint Valentin, 50euros RĂ©sumĂ© du spectacle Quelle femme n’a pas rĂȘvĂ©, ne serait ce que 24h, ĂȘtre dans la peau d’un homme et rĂ©ciproquement ? AprĂšs une dispute de couple bidon, Clarisse lance ce postulat Ă  son mari François. Le lendemain matin ils s’aperçoivent qu’ils sont dans le corps de l’un et l’autre ! alors la comĂ©die commence
 Informations complĂ©mentaires RĂ©servation indispensable quelques jours avant, merci de respecter l'heure d'arrivĂ©e que nous vous communiquons lors de la rĂ©servation. ArrivĂ©e fixĂ©e lors de la rĂ©servation entre 19h et 20h Les DĂźners-Spectacles sont Ă  50€ sauf mention n'acceptons pas les chĂšques restaurant les soirs de dĂźners-spectacles Attention, les places rĂ©glĂ©es pour une date prĂ©cise ne sont ni Ă©changeables ni remboursables ... sauf cas de force majeur! Informations complĂ©mentairesTarif SpĂ©cial Saint Valentin, 50euros Impossible de reserver ce spectacleAucune date disponible pour ce spectacle Le prochains spectacles DĂ©finitionsde Au Théùtre ce soir, synonymes, antonymes, dĂ©rivĂ©s de Au Théùtre ce soir, dictionnaire analogique de Au Théùtre ce soir (français) 10 dĂ©cembre 2011 6 10 /12 /dĂ©cembre /2011 0755 J'ai laissĂ© mon auto Ă  Pont-Marie, sur le quai, oĂč l'on trouve toujours Ă  stationner en soirĂ©e. Je suis de bonne humeur, l'air est doux, un vent lĂ©ger souffle sur la Seine et soulĂšve mon manteau en peau de porc dĂ©sossĂ©. Il fait quatorze degrĂ©s dans Paris que la pollution rĂ©chauffe. Je vais au théùtre ce soir et je remonte la rue de Rivoli ou la descendĂ©-je, je ne sais pas, La pente n'est pas marquĂ©e, si ce n'est celle du fleuve bon, je descends la rue. Dans mon adolescence, j'avais lu, comme beaucoup de garçons de mon Ăąge, Typhon de Joseph Conrad et ce court roman m'avait laissĂ© une forte impression. C'Ă©tait je crois me souvenir dans une traduction d'AndrĂ© Gide. Le combat contre le typhon, contre les coolies... Finalement, mĂ©taphoriquement, ce navire perdu sur la mer dans l'Asie du sud-est, c'est un peu nous aujourd'hui mais Sarko saura-t-il ĂȘtre le capitaine MacWhirr ? Je vais voir une transposition théùtrale d'un autre roman de J. Conrad, avec un interprĂšte, que je ne connais pas mais qui est, paraĂźt-il, un acteur exceptionnel. Et la presse dit beaucoup de bien du metteur en scĂšne. Il s'agit du roman Au coeur des tĂ©nĂšbres de Conrad, adaptĂ© pour la scĂšne sous le titre Coeur tĂ©nĂ©breux par l'auteur-interprĂšte Josse De Pauw. C'est au Théùtre de la Ville, dans le cadre du Festival d'Automne. France-culture a accordĂ© son partenariat sera-ce un gage de qualitĂ© ? Le metteur en scĂšne a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© invitĂ© dans ce lieu, c'est Guy Cassiers. Je passe l'HĂŽtel de Ville qui se dĂ©payse entre ChĂ©ops et MykĂ©rinos, le théùtre est lĂ . Je suis seul, le nez au vent, souriant, heureux de la soirĂ©e en perspective et ma mine avenante m'attire deux jeunes Anglais perdus qui cherchent leur hĂŽtel. Je saisis l'occasion to brush up my english, en dĂ©plorant qu'ils ne soient pas italiens, et je leur fais un brin de conduite avenue Victoria. Dans le théùtre, le public commence Ă  prendre place ah, les malheureux ! Ils ne savent pas encore ce qui les attend ! Quand le spectacle commence, le comĂ©dien s'avance seul c'est un homme dans la soixantaine, un peu bedonnant, vĂȘtu d'un pantalon bleu et d'une vaste chemise verte. Il s'immobilise au milieu de la scĂšne, face au public, et commence, sur un ton de conversation presque chuchotante un long monologue. Il y en a pour deux heures ! Comme il est flamand, mais bilingue, il s'exprime avec un accent, ce qui n'est guĂšre gĂ©nant, mais peu Ă  peu on s'aperçoit qu'il ne maĂźtrise pas parfaitement son texte français il a des hĂ©sitations, il bafouille, il se reprend. Comme un morceau de quelque chose lui sort de l'oreille jusqu'Ă  la bouche, un micro sans doute, je me demande si une oreillette ne lui souffle pas le texte mot Ă  mot. J'avais lu qu'Ă  Anvers la piĂšce s'Ă©tait jouĂ©e en flamand. Mais on prĂȘte l'oreille la prose de Conrad est somptueuse dans sa description de la forĂȘt africaine, de la remontĂ©e du Congo par ce petit bĂąteau en mauvais Ă©tat. Pendant le rĂ©cit, dĂ©bitĂ© toujours sur le mĂȘme mode, sur huit ou neuf grands panneaux placĂ©s en fond de scĂšne, un vidĂ©oprojecteur envoie des images floues et bariolĂ©es qui illustrent le texte, des feuillages, du feu, du sang qui dĂ©gouline, des visages, des figures en pied. Ce sont les autres personnages, tous interprĂȘtĂ©s par le mĂȘme comĂ©dien, enregistrĂ©s; tous parlent Ă©videmment de la mĂȘme voix, sur le mĂȘme ton, mĂȘme une femme Ă  la fin. Le comĂ©dien dialogue avec les images virtuelles. On ne sait bientĂŽt plus qui dit quoi. On perd le fil. Des spectateurs commencent Ă  se lever et Ă  quitter la salle. Une camera, dans la coulisse filme l'acteur en scĂšne et son image se superpose sur les Ă©crans. On se croirait dans une convention de l'ump oĂč l'image du prĂ©sident est grossie et dĂ©multipliĂ©e. Je rĂ©siste Ă  l'ennui. Tout Ă  coup la main de ma voisine s'abandonne contre mon genou qu'est-ce qu'elle me veut, cette greluche trentenaire ? Elle n'a pas vu mon gros ventre, mes cheveux blancs, cette gĂ©rontophile ? Je glisse un regard en coin elle ne serait pas plutĂŽt en train de s'endormir ? Le rang derriĂšre moi se vide. Je commence des exercices d'assouplissement de la nuque, j'explore des yeux les hauts du théùtre il n'a pas trop vieilli depuis l'Ă©poque de sa rĂ©novation, oĂč Jean Mercure, Ă  la fin des annĂ©es soixante, en Ă©tait le directeur. Je me souviens de certains spectacles, M. Boulgakov, Corneille, d'autres les Maures tombaient des cintres sur scĂšne, mes Ă©lĂšves Ă©taient fous de joie ! Ma voisine me rappelle Ă  la rĂ©alitĂ©, sa main de nouveau m'effleure la cuisse cherche-t-elle un micheton, la gourgandine ? Le spectacle tire Ă  sa fin. Enfin. Le comĂ©dien s'identifie Ă  l'autre personnage-clĂ© de la piĂšce, l'affreux Kurtz, et il meurt debout, face camera, la bouche grande ouverte et cette bouche bĂ©ante, filmĂ©e en contreplongĂ©e, est videoprojetĂ©e sur le fond de scĂšne. Il y avait aussi, parait-il, de la musique improvisĂ©e. Trois maigres salves d'applaudissements et c'est tout. Je rejoins ma voiture en remontant le fleuve vers sa source. En arrivant Ă  la maison, je trouve ces commentaires de spectateurs sur internet un dĂ©sastre ! un scandale ! une curiositĂ© technique ! texte massacrĂ© ! Ben oui. Je crois que la journaliste de Sa SaintetĂ© TĂ©lĂ©rama n'a pas vu le spectacle Ă  Paris mais Ă  Anvers ; elle Ă©crit une adaptation Ă©blouissante... Je vais lire le roman de Conrad. Unautre que moi arrivera au théùtre Ă  partir du 11 fĂ©vrier 2016. Vous pourrez dĂ©couvrir ce texte mis en scĂšne au théùtre de l’Atelier par Jean-Daniel Verhaeghe, et interprĂ©tĂ© par Claude Rich et Jean-Pierre Lorit. En attendant, comme aurait dit Musset, lisons le théùtre dans notre fauteuil ! VĂ©ronique Olmi . Un autre que moi
François Morel Je reprends certains de ses textes que je respecte Ă  la lettre et d’autres un peu moins.» Repros CL Par Christelle LASAIRES, publiĂ© le 26 novembre 2018 Ă  9h49, modifiĂ© Ă 11h53. François Morel est en duo avec Raymond Devos pendant trois soirs au théùtre dĂšs mercredi. Les spectateurs vont beaucoup rire. Et douter aussi. Il fallait du courage ou de l’inconscience pour s’attaquer Ă  l’impressionnant Raymond Devos, roi du paradoxe cocasse, disparu en 2006. François Morel, l’ex Deschiens de Canal +, humoriste et chroniqueur sur France Inter, le reconnaĂźt lui-mĂȘme. Mais il a rĂ©ussi Ă  faire revivre l’humour et l’imaginaire de son idole sur scĂšne avec un pianiste lors d’un spectacle...I l fallait du courage ou de l’inconscience pour s’attaquer Ă  l’impressionnant Raymond Devos, roi du paradoxe cocasse, disparu en 2006. François Morel, l’ex Deschiens de Canal +, humoriste et chroniqueur sur France Inter, le reconnaĂźt lui-mĂȘme. Mais il a rĂ©ussi Ă  faire revivre l’humour et l’imaginaire de son idole sur scĂšne avec un pianiste lors d’un spectacle qu’il a intitulĂ© J’ai des doutes». À voir mercredi 28, jeudi 29 et vendredi 30. Quelle est la place de Raymond Devos dans votre spectacle?Elle est essentielle. Je reprends certains de ses textes que je respecte Ă  la lettre et d’autres un peu moins. Il est le point de dĂ©part. J’ai pris tellement de plaisir Ă  faire une lecture qu’on m’avait demandĂ©e Ă  l’occasion des 10 ans de sa mort, que j’ai voulu approfondir le sujet. Ce n’est pas une piĂšce de théùtre, mais un rĂ©cital avec un pianiste. C’est un spectacle avec des numĂ©ros. On a chacun notre façon de faire rire. On improvise, mais on n’improvise pas quelle est la place de François Morel?Les gens qui ont vu le spectacle disent qu’il y a complĂštement Raymond Devos et complĂštement François Morel. Ceux qui me connaissent ne verront pas le contraire de ce que je fais. Ceux qui aiment Devos vont le reconnaĂźtre. Il y a un bon Ă©quilibre entre les que ses textes n’ont pas trop vieilli?Certains textes sont datĂ©s, mais le fond est toujours d’actualitĂ©. Comme pour MoliĂšre, certains dĂ©tails ne sont plus de maintenant, mais les mouvements humains sont les avait un regard assez contemporain sur les sujets. S’il Ă©tait vivant aujourd’hui, il parlerait d’internet, des rĂ©seaux sociaux, du portable
 Il ne parlait pas de l’actualitĂ© immĂ©diate. Il parlait de Dieu, de la mort, de ses inquiĂ©tudes de vivre, de ses doutes
Et vous, vous avez des doutes?J’en ai plein. Raconter l’humour de Devos ça m’angoisse. Mon travail est sous-tendu par le doute. Au moment de faire ce spectacle, je me suis dit “Qu’est-ce qui m’a pris de m’en prendre Ă  un homme comme lui, irremplaçable?” Mais c’est le doute qui fait aussi avait des doutes. Il Ă©tait angoissĂ© par les choses existentielles, comme l’au-delĂ . Il avait envie de s’échapper de la violence de ce monde. Cela s’exprime dans tout ce qu’il si cela vous angoisse, vous ĂȘtes-vous attaquĂ© Ă  ce monstre de la scĂšne comique?Le seul avantage que j’ai sur lui, c’est que je suis vivant. Si on veut que ses textes soient dits sur scĂšne, il faut que quelqu’un de vivant les fasse entendre, mĂȘme si c’est d’une autre votre premiĂšre rencontre avec allĂ© le voir sur scĂšne Ă  Caen. Puis j’avais remarquĂ© qu’on ne contrĂŽlait plus les entrĂ©es aprĂšs l’entracte. Alors je suis revenu voir trois fois sa deuxiĂšme partie. J’étais emballĂ© par sa prĂ©sence sur scĂšne. Il ne faisait pas que des jeux de mots. Il nous emmenait dans son imaginaire en utilisant tous les plaisirs du théùtre le mime, le jonglage, la musique
Il y a un entracte pendant votre spectacle?Malheureusement non. Ça ne se fait plus trop. Les gens devront venir dĂšs le allez passer deux jours Ă  AngoulĂȘme. Quel est votre programme?J’ai prĂ©vu d’aller voir le club de théùtre du lycĂ©e Saint-Paul, comme je l’avais fait la derniĂšre fois que je suis venu Ă  AngoulĂȘme au mois de mars dernier, NDLR. Puis j’irai flĂąner au musĂ©e de la BD et j’achĂšterai comme d’habitude mon foie gras au marchĂ© des Halles. Je serai un peu en mode vacances.J’ai des doutes», au théùtre mercredi 28 novembre et vendredi 30 Ă  20 h 30 et jeudi 29 Ă  19 h 30. Tarifs 34 et 28 €. TĂ©l. 05 45 38 61 61.
122citations « J'Ă©tais seul, l'autre soir, au Théùtre-Français, - Ou presque seul; l'auteur n'avait pas grand succĂšs. - Ce n'Ă©tait que MoliĂšre » « Les apparences sont souvent trompeuses. » « La femme fait oublier ses dĂ©fauts et peut aller partout la tĂȘte haute, si elle est honnĂȘte de corps. » « A qui se lĂšve matin, Dieu aide et prĂȘte la main. » Un théùtre pour les sourds... et les autres ! L'International visual theatre IVT, Ă  Paris, fĂȘte ses 40 ans. Un lieu unique en France oĂč la culture sourde peut se faire "entendre" de tous les publics. Portes-ouvertes le 8 octobre 2016. Par Marie-Pierre Ferey C'est un autre monde, un monde de signes, chaleureux et enthousiaste, mais Ă©trangement silencieux pour une salle de spectacle le public de l'International Visual Theatre IVT, Ă  Paris, qui fĂȘte ses 40 ans, est pour l'essentiel constituĂ© de personnes sourdes. Ici, on applaudit en agitant joliment ses deux mains en l'air, et les entendants », comme les appellent les sourds, se distinguent en frappant dans les mains. Un lieu unique en France Pour la prĂ©sentation de saison de l'IVT, une petite foule se presse dans le hall de ce minuscule théùtre nichĂ© dans une impasse charmante du 9e arrondissement. On s'embrasse, on se hĂšle Ă  grand renfort de gestes une communautĂ© joyeuse se sent ici chez elle. Nous sommes un lieu unique en France », constate Emmanuelle Laborit, 44 ans, qui dirige l'IVT depuis 2004. Il y a bien quelques bibliothĂšques, avec un pĂŽle en langue des signes française LSF, et un hĂŽpital, La PitiĂ© SalpĂȘtriĂšre, Ă©quipĂ© d'interprĂštes et de mĂ©decins qui maĂźtrisent la LSF, mais le seul lieu dĂ©diĂ© Ă  la culture sourde en France se trouve ici, dans un ancien local rĂ©cupĂ©rĂ© en 2004 aprĂšs le dĂ©part de l'Ecole nationale supĂ©rieure d'arts et techniques du théùtre pour Lyon. Une salle de 185 places, un mini bar trĂšs animĂ© et des salles de cours Ă  l'Ă©tage l'IVT, financĂ© par la mairie de Paris, le ministĂšre de la Culture et la rĂ©gion, est nĂ© il y a 40 ans de la rencontre d'un artiste sourd amĂ©ricain, Alfredo Corrado, et de l'homme de théùtre Jean GrĂ©mion au festival mondial de théùtre de Nancy. La LSF interdite pendant 100 ans Jean GrĂ©mion travaillait dĂ©jĂ  sur le travail gestuel et Ă  travers Corrado, il dĂ©couvre ce vĂ©ritable langage, la langue des signes. Tous deux dĂ©cident de travailler ensemble Ă  un projet europĂ©en et fondent l'IVT. Le ministĂšre de la Culture les autorise alors Ă  s'installer au ChĂąteau de Vincennes, qui Ă©tait complĂštement abandonnĂ© », raconte Emmanuelle Laborit, dont les propos en langue des signes sont traduits par un interprĂšte. A l'Ă©poque, ça n'allait pas de soi. Les sourds disaient 'Quoi, du théùtre pour les sourds, ils sont dingues !', rappelle-t-elle. Il faut se souvenir que la langue des signes a Ă©tĂ© interdite pendant prĂšs de cent ans !». En France, il faut attendre la loi de 2005 pour que la LSF soit officiellement reconnue comme une langue Ă  part entiĂšre. Elle n'est pas pour autant dominante environ 100 000 sourds sur 3 millions utilisent la LSF et seulement 15 Ă©coles dispensent leurs cours en langue des signes, les autres se contentant de l'enseigner comme une langue vivante, Ă  raison de deux heures par semaine. Des spectacles tout public L'IVT prĂ©sente quelque 90 reprĂ©sentations sur l'annĂ©e. Six spectacles sont cette saison des crĂ©ations originales bilingues, en langue des signes et en français parlĂ©, et sept sont des spectacles visuels mime, marionnettes, théùtre d'ombres, danse .... Je dis toujours que nos spectacles sont tout public, martĂšle la directrice. D'ailleurs, nous avons plus d'entendants que de sourds pour certaines piĂšces ! » Les Ă©coles du quartier viennent rĂ©guliĂšrement aux spectacles jeunesse. Beaucoup de sourds se disent que le théùtre, c'est pour des gens intellectuellement trĂšs forts, donc nous avons tout un travail Ă  faire en amont pour les convaincre », ajoute-t-elle. La journĂ©e, le théùtre est une ruche avec des cours, qui accueillent un millier d'Ă©lĂšves chaque annĂ©e. Le soir, sont organisĂ©s des ateliers de théùtre en LSF, créés pour la premiĂšre fois en 1978 et oĂč Emmanuelle Laborit elle-mĂȘme a fait ses premiĂšres classes Ă  l'Ăąge de 7 ans. Portes ouvertes le 8 octobre La fille du psychanalyste Jacques Laborit et petite-fille du scientifique Henri Laborit a eu la chance d'apprendre prĂ©cocement la langue des signes, qu'elle exĂ©cute Ă  toute vitesse. Devenue l'emblĂšme de la culture sourde, rĂ©compensĂ© d'un MoliĂšre en 1993 pour son rĂŽle dans la piĂšce Les enfants du silence, elle mĂšne le combat pour la culture sourde tout en prĂŽnant l'ouverture. Les 40 ans seront l'occasion de portes ouvertes le 8 octobre 2016 et surtout de trois jours de dĂ©bats, projections, spectacles tous azimuts du jeudi 13 au dimanche 16 octobre. L'IVT est Ă©galement Ă  l'affiche du festivals OrphĂ©e Viva la vida dĂ©diĂ© au talent des comĂ©diens en situation de handicap dans le 95 et le 78 avec trois piĂšces dont deux Ă  venir les 15 et 17 octobre Deuil-la-Barre et les 16 et 17 octobre Ă  Argenteuil articles en lien ci-dessous. Tous droits de reproduction et de reprĂ©sentation rĂ©servĂ©s.© 2022 Agence les informations reproduites sur cette page sont protĂ©gĂ©es par des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle dĂ©tenus par l'AFP. Par consĂ©quent, aucune de ces informations ne peut ĂȘtre reproduite, modifiĂ©e, rediffusĂ©e, traduite, exploitĂ©e commercialement ou rĂ©utilisĂ©e de quelque maniĂšre que ce soit sans l'accord prĂ©alable Ă©crit de l'AFP. 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En parfait accord avec lui-mĂȘme, sa vie Ă©tait une fĂȘte, et il Ă©tait heureux. Jusqu’au soir oĂč il passa sur un pont duquel il entendit une jeune fille se jeter. Il poursuivit son chemin, sans lui porter secours. Cette chute entraĂźna celle, morale, de Clamence et marqua le dĂ©but de sa quĂȘte existentielle. Au travers de son personnage, Albert Camus dĂ©peint l’homme occidental Ă©goĂŻste, vivant dans le pur divertissement, coupĂ© des notions fondamentales de justice et de responsabilitĂ©. NOTE D’INTENTION. GĂ©raud BĂ©nech, metteur en scĂšne et Stanislas de la Tousche, comĂ©dien. Cette annĂ©e 2020 est l’occasion de revisiter, de façon théùtrale, ce rĂ©cit Ă©crit par l’une des figures les plus marquantes de la pensĂ©e du XXe siĂšcle. Aujourd’hui, La Chute est devenu un classique » et son auteur, l’archĂ©type de l’intellectuel Ă  la française, naviguant en solitaire entre libertĂ© philosophique et engagement humaniste. Cette Ă©trange confession s’inscrit Ă  prĂ©sent dans un autre contexte historique, loin des affrontements idĂ©ologiques des annĂ©es 1950 Guerre froide, dĂ©colonisation, forte influence du Marxisme dans les courants de pensĂ©e en Europe qui lui donnaient des allures de manifeste. Nous l’abordons avec nos prĂ©occupations et notre sensibilitĂ© contemporaines, davantage tournĂ©es vers l’intime et les enjeux Ă  court terme. Elle rĂ©sonne dans notre quotidien avide de coming out » et oĂč les medias et les rĂ©seaux sociaux ont banalisĂ© jusqu’à saturation le dĂ©ballage de l’intime. Que signifie pour notre temps envahi par la toute puissance de la communication et la manipulation des images, cette entreprise » Ă©manant d’un homme rompu Ă  l’art de la parole, brillant avocat comme il se dĂ©crit
 comĂ©dien comme il se prĂ©tend, et qui va se mettre Ă  nu dans un jeu de la vĂ©ritĂ© » sans concession ? La mise en perspective théùtrale de ce texte s’appuie sur la stratĂ©gie d’écriture de Camus. Le spectateur, tout comme le lecteur, n’est pas pris Ă  partie directement. La parole de Jean-Baptiste Clamence, portĂ©e par le comĂ©dien Stanislas de la Tousche, est adressĂ©e Ă  cet interlocuteur invisible qu’il tente de convertir et d’entraĂźner dans sa chute salvatrice. Mais dans ce miroir qu’il lui tend, chacun d’entre nous est conduit, par Ă©tapes, Ă  reconnaĂźtre sa propre image. Un ancien avocat rĂ©fugiĂ© Ă  Amsterdam sert de guide Ă  un Français de passage, rencontrĂ© dans un bar du port. Jour aprĂšs jour, il se raconte et se dĂ©voile, se faisant de plus en plus intime. Au cƓur de sa rĂ©vĂ©lation, un Ă©vĂ©nement catalyseur le suicide par noyade, sous ses yeux, d’une jeune femme, un soir alors qu’il traversait un pont parisien. Mais au-delĂ  de sa propre expĂ©rience, il rend compte de cette complexitĂ© irrĂ©ductible que nous partageons tous, des choix qui composent la trame de nos existences, de nos intentions, de nos actes ou nos immobilitĂ©s, face au regard de l’autre, face aux injonctions sociales ou aux intrusions fracassantes de l’Histoire dans nos vies. L’homme se confie il a Ă©tĂ© un avocat brillant, un sĂ©ducteur, un homme du monde, vivant pour et par les autres, n’existant qu’au travers du jeu des regards. Puis soudain, Ă  la faveur de ce suicide, la luciditĂ© l’a saisi. Le sentiment de sa lĂąchetĂ© intrinsĂšque, de sa vanitĂ©, se sont mis Ă  affleurer. Toutes ses tentatives pour le refouler ont Ă©chouĂ©. Sa carapace d’ĂȘtre social s’est fissurĂ©e puis brisĂ©e. C’est un Ă©corchĂ© vivant qui se voit en transparence, Ă  la fois sujet et objet cette leçon d’anatomie » qu’est La Chute. En s’affranchissant ainsi du mensonge qui est notre lot commun et en assumant sa duplicitĂ©, Jean-Baptiste Clamence accĂšde Ă  un statut supĂ©rieur, omniscient. Mais il est condamnĂ© Ă  errer dans les limbes en quĂȘte d’individus Ă  convertir. Car on ne peut regarder seul longtemps la vĂ©ritĂ© en face. AXES DE MISE EN SCÈNE, GĂ©raud BĂ©nech, metteur en scĂšne. La mise en scĂšne vise Ă  mettre en Ă©vidence les enjeux dramaturgiques de La Chute et en tout premier lieu les conditions d’énonciation de cette confession. Qui est ce personnage qui se dĂ©signe sous le nom de Jean-Baptiste Clamence. À qui s’adresse-t-il ? Que signifie la solitude de l’acteur sur le plateau alors que l’illusion théùtrale nous invite Ă  croire qu’il partage cet espace avec son interlocuteur. Que signifie cet espace sobre et ces objets une table, une chaise, une lampe de bureau, un grand miroir sur pied qui, sans soucis de rĂ©alisme, Ă©voquent pourtant une chambre meublĂ©e ? À chaque instant, le spectateur est confrontĂ© Ă  une double interprĂ©tation de ces paramĂštres Il peut soit accepter la convention théùtrale, adhĂ©rer aux diffĂ©rentes situations qui naissent de la bande sonore et dans lesquelles deux interlocuteurs se meuvent et dialoguent bien que n’en voyions et n’entendions qu’un seul. Il peut aussi la mettre en doute, ou plutĂŽt considĂ©rer que ce Ă  quoi il assiste est une tentative de manipulation de la part d’un personnage expert en jeux d’illusions mais que cette introspection sans concession aura conduit au-delĂ  de la raison. ” Ces nuits-lĂ , ces matins plutĂŽt car la chute se produit Ă  l’aube, je sors, je vais, d’une dĂ©marche emportĂ©e, le long des canaux. Dans le ciel livide, les couches de plumes s’amincissent, les colombes remontent un peu. Une lueur rosĂ©e annonce, au ras des toits, un nouveau jour de ma crĂ©ation 
 Alors planant par la pensĂ©e sur tout ce continent qui m’est soumis sans le savoir, buvant le jour d’absinthe qui se lĂšve, ivre enfin de mauvaises paroles, je suis heureux. Je suis heureux, vous dis-je, je vous interdis de ne pas croire que je suis heureux, je suis heureux Ă  mourir ! ” Le personnage se tient en Ă©quilibre sur la fine crĂȘte qui sĂ©pare l’hyperacuitĂ© de la folie. À aucun moment, la mise en scĂšne ne cherche Ă  trancher cette ambiguĂŻtĂ© voulue par Camus et qui traverse le roman. GÉRAUD BÉNECH – mise en scĂšne, crĂ©ation sonore et vidĂ©o. Au théùtre, GĂ©raud Benech collabore en tant que dramaturge pour plusieurs spectacles K Lear de William Shakespeare, mise en scĂšne de Marie Montegani, avec Emmanuelle Laboorit, Théùtre IVT, 2007, Les Femmes savantes de MoliĂšre, mise en scĂšne de Marie Montegani Théùtre 95, Cergy-Pontoise, 2010. Il est Ă©galement conseiller artistique et dramaturge pour les piĂšces Ă©crites et mises en scĂšne par JoĂ«l Dragutin Chantier public Théùtre 95, Cergy-Pontoise, 2011, Visite guidĂ©e Théùtre 95, 2012, Une maison en Normandie Théùtre 95, 2013, Je te ferais dire Théùtre 95, 2014, En hĂ©ritage Théùtre 95, 2015 et Le Chant des signes Théùtre 95, 2017. Moi, Daniel Blake, adaptĂ© du film de Ken Loach, ScĂšne Nationale de Cergy-Pontoise, avril 2019 et Avignon 2019, Théùtre des Halles, Prix du OFF 2019. En tant que metteur en scĂšne, il dirige Stanislas de La Touche dans plusieurs spectacles inspirĂ©s de la vie et de l’Ɠuvre de Louis Ferdinand CĂ©line. Le dernier en date, CĂ©line, Derniers entretiens, est restĂ© pendant prĂšs de trois saisons Ă  l’affiche de théùtres parisiens Théùtre des DĂ©chargeurs 2017-2018, Théùtre de la Contrescarpe – 2018, Théùtre de Poche-Montparnasse, 2019 et a reçu un accueil enthousiaste de toute la critique. Il met Ă©galement en scĂšne La Chute d’Albert Camus et Mais du soleil que reste t-il ? d’aprĂšs les Ă©crits de guerre de Maurice Genevoix et Sons of a Nietzsche, une performance associant jazz live et textes philosophiques ou poĂ©tiques Friedrich Nietzsche, Henri Michaux, Gilles Deleuze
 avec le comĂ©dien Matthieu Dessertine Centre europĂ©en de poĂ©sie, Avignon, 2015 et 2016. GĂ©raud Benech a Ă©galement publiĂ© deux ouvrages consacrĂ©s Ă  la 1Ăšre Guerre Mondiale Carnets de Verdun Librio, 2006 et Champs de Bataille de la Grande Guerre Flammarion, 2008. STANISLAS DE LA TOUSCHE – comĂ©dien. Stanislas de la Tousche a Ă©tĂ© forme au Centre AmĂ©ricain par Stephane Lory Paris, 1978- 1981 puis par Blanche Salant 1981-1982. À la Maison des jeunes et de la Culture MercƓur, il a suivi l’enseignement de Jacques Lecoq par Eduardo Galhos Paris, 1982-1986. Stanislas de la Tousche dĂ©bute au théùtre avec la piĂšce Le Livre de Viorel Stefan, mise en scĂšne de LoĂŻc Saint-James Enghien, 1985. Il joue ensuite sous la direction de Christophe Thiry, notamment dans Mistero buffo de Dario Fo Roseau Théùtre, Paris, 1987 et La Mort et l’écuyer du Roi de Wole Soyinka Le Perreux-sur-Marne, 1994. Il joue Ă©galement dans de nombreuses piĂšces telles que Anthropologies de Pablo Abad, mise en scĂšne de Ricardo Lopez-Munoz Théùtre de Chatillon, 1996, Dialogues d’exilĂ©s de Bertold Brecht, mise en scĂšne de Patrick Vershueren Théùtre ÉphĂ©mĂ©ride, Val- de-Reuil, 1998, Peines d’amour perdues de William Shakespeare, mise en scĂšne de Simon Abkarian Théùtre de l’ÉpĂ©e de Bois, Vincennes, 1999, Entretien entre Diderot et d’Alembert de Denis Diderot, mise en scĂšne de Didier Mahieu Théùtre ÉphĂ©mĂ©ride, Val- de-Reuil, 1999, Britannicus de Jean Racine, mise en scĂšne d’Alain Bezu Théùtre des 2 Rives, Charenton, 1999, La Compagnie des spectres de Lydie Salvayre, mise en scĂšne de Monica Espina Théùtre National de Chaillot, 2002, Anticlimax de Werner Schwab, mise en scĂšne de Regis Hebette Theatre de l’Échangeur, 2004, Tragedy a tragedy de William Eno, mise en scĂšne de Monica Espina La GĂ©nĂ©rale, Paris, 2006, La Conjuration des imbĂ©ciles de John Kennedy Toole, mise en scĂšne de Bastien Crinon Théùtre GĂ©rard Philippe, OrlĂ©ans, 2008. Depuis 2010, GĂ©raud BĂ©nech le met en scĂšne dans plusieurs spectacles inspirĂ©s de la vie et de l’Ɠuvre de Louis-Ferdinand CĂ©line, dont le dernier en date, CĂ©line, Derniers entretiens est restĂ© pendant prĂšs de trois saisons Ă  l’affiche de théùtres parisiens Théùtre des DĂ©chargeurs 2017-2018, Théùtre de la Contrescarpe – 2018, Théùtre de Poche-Montparnasse, 2019 et a suscitĂ© l’enthousiasme de toute la critique. La Chute de Camus et Mais du soleil que reste-t-il ? d’aprĂšs Maurice Genevoix consacrent ainsi une dĂ©cennie de collaboration. wbWXm.
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  • j Ă©tais seul l autre soir au théùtre français